Evangile selon s. Jean 9 i tłumaczenie

          Dans la péricope Retour en Galilée par la Samarie (Jean 4:1–42) enseigne que Jésus lui-même ne baptisait pas, mais ses disciples droit de le faire. Peut-être est pourquoi l’Église permet de baptême par des laïcs catholiques, sous réserve de certaines condition. Tout d’abord, ils peuvent le faire en cas d’urgence, quand il n’y a pas de prêtre à proximité, et a menacé la vie d’un enfant. L’efficacité du baptême est obtenue en versant bébé de l’eau et la cessation de la formule baptismale: Je te baptise au nom du Père et du Fils, et du Saint-Esprit. Après un tel acte dès que possible de signaler ce fait dans sa paroisse pour sa bénédiction et consignée dans les registres paroissiaux.

          Il vaut la peine de réfléchir sur l’essence et de la matière du baptême. Qu’est-ce que le baptême? L’acte du baptême est portée à un sacrement, et donc le signe de la grâce de Dieu invisible. Cet acte est fait sanctification de l’homme. Qu’est-ce que cela signifie? Est l’âme humaine porte les traces d’une certaine sanctification permanente par la grâce? Toutes les marques âme ne peut pas être physiques (sélection, cicatrices, etc.) en raison de sa nature spirituelle. Alors qu’on peut parler de l’affiliation de l’âme. Donc, le sacrement du baptême détermine la nationalité de l’homme à la famille chrétienne commune. Enrichit avec divers bijoux. Il est clair que cela en dit le Catéchisme de l’Église catholique: le pardon du péché originel et tous les péchés personnels, la naissance à une vie nouvelle par laquelle l’homme devient un fils adoptif du Père, un membre du Christ, un temple de l’Esprit Saint. Grâce à l’adoption de ce sacrement est activée baptisés dans l’Église, le Corps du Christ, et devient un participant dans le sacerdoce du Christ (Le Catéchisme de l’Église Catholique n ° 1279).

          Plus d’une personne vont se demander: Quelle est la cause efficiente du baptême, quand il peut donner presque tous les hommes? Eh bien, il y a ses paroles de la formule baptismale avec luminaire existant. Mêmes mots? Certains ne croient vraiment pas. Et pourtant. Comme la prière est la cause efficiente de nombreux événements grâces, de sorte que la formule baptismale a le pouvoir de le sacrement. Cela est inhabituel. Par la parole du monde était, le mot était l’incarnation de Dieu, le mot peut faire des miracles et des prodiges. Il est intéressant de noter l’importance de cette forme de communication. Par les mots, on peut également tuer et faire beaucoup de mal. Il est bon d’utiliser effectivement ce cadeau (discours) pour seul effet était le même bon.

Tłumaczenie

          W perykopie Jezus i Samarytanka (J 4,1–42) ujawniono, że Jezus sam nie chrzcił, lecz Jego uczniowie do tego uprawnieni. Być może dlatego Kościół dopuszcza możliwość udzielania chrztu przez świeckich katolików, pod warunkiem spełnienia określonych warunków. Przede wszystkim mogą to czynić w nagłych wypadkach, gdy nie ma w pobliżu kapłana, a zagrożone jest życie dziecka. Skuteczność chrztu uzyskuje się przez polanie wodą dziecka i wypowiedzenie formuły chrzcielnej: ja ciebie chrzczę w imię Ojca i Syna, i Ducha Świętego. Po takim akcie należy jak najszybciej zgłosić ten fakt w swojej parafii w celu jego pobłogosławienia i odnotowania w rejestrach parafialnych.

          Warto zastanowić się nad istotą i materią chrztu. Czym jest chrzest?  Akt chrztu podniesiony jest do rangi sakramentu, a więc znaku łaski niewidzialnego Boga. Tym aktem dokonuje się uświęcenie człowieka. Co to znaczy? Czy dusza ludzka nosi w sobie jakieś trwałe ślady uświęcenia łaską? Wszelkie znaki na duszy nie mogą być fizyczne (zaznaczenia, blizny itp.) z racji jej natury duchowej. Natomiast można mówić o przynależności danej duszy. Tak więc sakrament chrztu określa przynależność człowieka do wspólnej rodziny chrześcijańskiej. Ubogaca też o różne precjoza. Wyraźnie o tym mówi Katechizm Kościoła Katolickiego: odpuszczenie grzechu pierworodnego i wszystkich grzechów osobistych, narodzenie do nowego życia, przez które człowiek staje się przybranym synem Ojca, członkiem Chrystusa, świątynią Ducha Świętego. Przez fakt przyjęcia tego sakramentu ochrzczony jest włączony w Kościół, Ciało Chrystusa, i staje się uczestnikiem kapłaństwa Chrystusa (KKK nr 1279).

           Niejedna osoba zapyta: Co jest przyczyną sprawczą chrztu, skoro może jej udzielić niemal każdy człowiek? Otóż, są nią wypowiadane słowa formuły chrzcielnej z obowiązującą oprawą. Same słowa? Niektórzy nie bardzo w to wierzą. A jednak. Jak modlitwa jest przyczyną sprawczą wielu zdarzeń, łask, tak formuła chrzcielna ma moc sakramentu. To niezwykłe. Przez słowo powstał świat, przez słowo nastąpiło wcielenie Boga, przez słowa można czynić znaki i cuda. Warto zważyć, jak ważna jest ta forma przekazu. Przez słowa można też zabić i uczynić wiele złego. Dobrze jest właściwie korzystać z tego daru (mowy), aby jedynym skutkiem było samo dobro.

Evangile selon s. Jean 8 i tłumaczenie

          L’auteur de l’Evangile fait une comparaison entre Moïse, qui, par la volonté de Dieu, dans le voisinage de la montagne de Hor suspendu le serpent d’airain sur une perche pour guérir tous les mordus qui le regardent (Nombres 21,4-9), et le Fils de l’homme, qui offre la vie éternelle. Immédiatement après le secret messianique est décrite dans une belle littérature de réglage: Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle (Jean 3:16). Quand un homme brisé par le péché, la relation originelle avec Dieu, Il est l’amour de l’homme prévu pour le fixer. Il a annoncé que déjà en Proto-Evangile: Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon (Genèse 3:15) que les gens devraient la venue du Rédempteur.

          Un autre verset selon une clé doit être traité en conséquence: Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui (Jean 3:17). Développer auteur théologique, sauf pour le mot condamnation est juste.

          Notez les paroles de la lumière: la lumière étant venue dans le monde (Jean 3:19); Car quiconque fait le mal hait la lumière (Jean 3:20), qui sont la preuve de modèle de développement[1] la lumière de la notion sur le fonctionnement du surnaturel. Dieu est la lumière, et avec ses rayons à différentes distances de la source, sont les âmes des hommes. Distance de la source dépend de la pureté et la perfection de l’âme. Le plus parfait de l’âme, plus il peut supporter la chaleur qui coule de Dieu. Dans le centre de lumières suivre le mariage mystique de l’âme avec Dieu. Il y aura de l’homme est totalement uni à Sa volonté.

          Dans la péricope  Dernier témoignage de Jean-Baptiste (Jean 3:22–36) il est soulevé une question importante Doctrine de la Foi: Un homme ne peut recevoir que ce qui lui a été donné du ciel (Jean 3:27). On peut demander: comment fait la volonté libre de l’homme? Il doit être immédiatement répondre à cette question ne perturbe pas l’autre. Dieu le Père pénètre la plus petite particule d’un homme, et participe ainsi à tout ce qui fait l’homme, même quand pécher. Il faut devoir réaliser que l’homme ne peut rien faire sans Dieu, en plus de la décision de la volonté. Donc, tout est, de Dieu. Certains disent qu’il est une surveillance totale. Oui, mais il ne peut pas en être autrement. Quelqu’un pourrait dire que ce terrible asservissement de l’homme. Pas vraiment. Le monde ne peut exister seul, sans le Créateur, qui maintient toujours en existence. Telle est la nature du monde et rien ici ne peut pas être changé. Dieu savoir à ce sujet, il a donné à l’homme un morceau de la vie privée, une partie de l’ego humain. Il ya une volonté libre. Comme je l’écrivais une fois, Dieu ne peut pas déterminer la volonté humaine. Il est totalement libre et indépendant de Dieu. Certains sont indignés de ces mots. Ils disent qu’ils perçoivent la puissance de Dieu et l’enfermer dans l’action. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité. Dieu est amour de l’homme, il a démissionné de sa capacité à l’homme de se sentir libre. Il veut être aimé par un homme totalement gratuit. Quand une personne prie Dieu et lui demande à propos de quoi que ce soit, Dieu ne détermine pas l’homme, et seulement fournit la force pour prendre les bonnes décisions. En fait, ce même homme a à commettre des actes de sa volonté. Oui, une personne peut abandonner votre volonté à la volonté du Père, mais qui est une autre affaire. Il découle d’une confiance en Dieu. Beaucoup de gens disent: être comme Dieu veut. Pas tout à fait vrai. Dans la vie il impliqué un homme et il doit prendre des décisions. Dieu ne peut être résolu par la sensibilisation incitant de conscience.

          La péricope discuté révèle une hiérarchie des êtres: Celui qui vient d’en haut est au-dessus de tous; celui qui est de la terre est de la terre, et il parle comme étant de la terre. Celui qui vient du ciel est au-dessus de tous, (Jean 3.31). Pas vraiment. L’auteur, bien qu’il ne pas écrire, il voulait dire Jésus-Christ. Jésus est pas une règle ou un roi dans le sens humain. Apologie Jésus est ici surestimée. La relation de Jésus avec un homme est déterminé par la foi.

          La péricope se termine par un verset qui selon une clé absolument ne vient pas de Jésus, et de ce qui est humain et en plus la croyance erronée Affichage: Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui (Jean 3:36). Émotion de la colère applique uniquement aux personnes, pas Dieu. Dieu tout le monde, même le pécheur, entouré de son amour et de miséricorde.


[1] Modèle l’espace surnaturelle lumière composée de messages St. Thérèse d’Avila du mariage mystique et beaucoup d’autres versets du Nouveau Testament.

Tłumaczenie

            Autor Ewangelii czyni porównanie między Mojżeszem, który z woli Boga, w okolicy góry Hor zawiesił miedzianego węża na wysokim palu, aby uzdrawiał wszystkich ukąszonych, którzy na niego spojrzą (Lb 21,4–9), a Synem Człowieczym, który zapewnia życie wieczne. Zaraz po tym, ujawniona jest tajemnica mesjańska w pięknej oprawie literackiej: Tak bowiem Bóg umiłował świat, że Syna swego Jednorodzonego dał, aby każdy, kto w Niego wierzy, nie zginął, ale miał życie wieczne (J 3,16).  Kiedy człowiek zepsuł, przez grzechy, pierwotną relację z Bogiem, On z miłości do człowieka zaplanował jej naprawienie. Ogłosił to już w Protoewangelii: Wprowadzam nieprzyjaźń między ciebie i niewiastę, pomiędzy potomstwo twoje a potomstwo jej: ono zmiażdży ci głowę, a ty zmiażdżysz mu piętę (Rdz 3,15), aby ludzie oczekiwali przyjścia Odkupiciela.

          Kolejny werset według przyjętego klucza musi być odpowiednio potraktowany: Albowiem Bóg nie posłał swego Syna na świat po to, aby świat potępił, ale po to, by świat został przez Niego zbawiony (J 3,17). Opracowanie teologiczne autora, poza słowem potępienia, jest słuszne.

          Warto zwrócić uwagę na słowa mówiące o światłości: światło przyszło na świat (J 3,19); Kto spełnia wymagania prawdy, zbliża się do światła (J 3,20), które są potwierdzeniem koncepcji[1] autora opracowania o funkcjonowaniu modelu świetlnego przestrzeni nadprzyrodzonej. Bóg jest Światłością, a w Jego promieniach,  w różnych odległościach od Źródła, znajdują się dusze ludzkie. Odległość od Źródła zależy od czystości i doskonałości duszy. Im doskonalsza dusza, tym większy potrafi znieść żar płynący od Boga. W centrum Światła następują zaślubiny mistyczne duszy z Bogiem. Tam wola człowieka jest w pełni zjednoczona z Jego wolą.

          W perykopie Jezus a Jan Chrzciciel (J 3,22–36) jest poruszona ważna kwestia doktryny wiary:  Człowiek nie może otrzymać niczego, co by mu nie było dane z nieba (J 3,27). Można zapytać: jak to się ma do wolnej woli człowieka? Trzeba od razu odpowiedzieć, że jedno nie przeszkadza drugiemu. Bóg-Ojciec przenika najmniejszą cząstkę człowieka, a tym samym uczestniczy we wszystkim, co czyni człowiek, nawet gdy grzeszy. Należy uzmysłowić sobie, że człowiek nic nie może uczynić bez Boga, oprócz decyzji woli. Tak więc wszystko, co posiada, od Boga pochodzi. Ktoś powie, że jest to  totalna inwigilacja. Tak jest, ale inaczej być nie może. Ktoś powie, że to straszne zniewolenie człowieka. Nie do końca. Świat nie może istnieć sam, bez Stwórcy, który go ciągle podtrzymuje w istnieniu. Taka jest natura świata i nic tu nie da się zmienić. Bóg wiedząc o tym, dał człowiekowi cząstkę prywatności, cząstkę dla ludzkiego ja. Jest  to wolna wola. Jak kiedyś napisałem, Bóg nie może woli ludzkiej determinować. Jest ona całkowicie wolna i niezależna od Boga. Niektórzy oburzają się na te słowa. Mówią, że odbieram Bogu moc i ograniczam Go w działaniu. Nic bardziej mylnego. Bóg z miłości do człowieka sam zrezygnował ze swoich możliwości, aby człowiek mógł czuć się wolny. Pragnie być kochany przez człowieka całkowicie wolnego. Kiedy człowiek modli się do Boga i prosi Go o cokolwiek, to Bóg nie determinuje człowieka, a jedynie dostarcza sił do podejmowania właściwych decyzji. W gruncie rzeczy to sam człowiek musi dokonywać aktów swojej woli. Owszem, człowiek może poddać swoją wolę woli Ojca, ale to jest już zupełnie inna sprawa. Wynika ona z zawierzenia  Bogu. Wiele osób mówi: będzie jak Bóg chce. Nie do końca jest to prawdą. W życiu uczestniczy człowiek i to on musi podejmować decyzje. Bóg może jedynie podpowiadać rozwiązania przez uwrażliwienie sumienia.

          Omawiana perykopa ujawnia hierarchię bytów: Kto przychodzi z wysoka, panuje nad wszystkimi, a kto z ziemi pochodzi, należy do ziemi i po ziemsku przemawia. Kto z nieba pochodzi, Ten jest ponad wszystkim (J 3,31). Nie do końca. Autor, choć nie pisze, ma na myśli Jezusa Chrystusa. Jezus nie jest władcą ani królem w znaczeniu ludzkim. Apologia Jezusa jest tu zawyżona. Relacja Jezusa z człowiekiem jest uwarunkowana wiarą.

          Perykopa kończy się wersetem, który według przyjętego klucza absolutnie nie pochodzi od Jezusa, a jest ludzkim i w dodatku błędnym oglądem wiary:  Kto wierzy w Syna, ma życie wieczne; kto zaś nie wierzy Synowi, nie ujrzy życia, lecz grozi mu gniew Boży  (J 3,36). Emocja gniewu dotyczy tylko ludzi, a nie  Boga. Bóg każdego, nawet grzesznika, otacza swoją miłością i miłosierdziem.


[1]  Na model świetlny przestrzeni nadprzyrodzonej złożyły się przekazy św. Teresy Wielkiej  o zaślubinach mistycznych oraz wiele innych wersetów Nowego Testamentu.

 

Evangile selon s. Jean 7 i tłumaczenie

          Si les paroles viennent de Dieu lui-même, cela signifie qu’il est nouveau, son plan. Il veut renouveler la relation avec l’homme à travers la nouvelle alliance. Jésus apporte un nouvel évangile. Humainement parlant, cela est une énorme histoire de la révolution. Il Faut avoir besoin d’une bonne compréhension de cet événement. L’humanité avant Jésus-Christ a été associé avec le Dieu du collectif Pacte, par des actes décrits dans les Écritures. Or, Jésus propose Alliance individuelle par le baptême. Tout le monde devrait volontairement se tenir devant Dieu “face à face” et d’exprimer le respect qui lui appartient.

          L’idée de Dieu a été brouillée par le baptême de la volonté des parents. Baptême sans être au courant de cette loi, la loi de l’homme, un operato ex opere, qui est, en fonction de vos actions. Donc, le baptême des enfants est efficace. Qu’est-ce que Dieu? Comme l’histoire l’enseigne, Dieu a souvent été contraint de prendre des solutions humaines (par exemple à partir d’ici. La polygamie). En effet, il a donné ces pouvoirs aux apôtres.

          Le baptême est donc une nouvelle qualité de la relation de l’homme avec Dieu. Ceci est rendu possible par un Dieu plus près des gens à travers le Fils – Jésus-Christ. La poursuite de l’alliance du baptême est le sacrement de la Confirmation. Pour le droit canon existant, ce sacrement doit avoir un rang spirituel très élevé et la gravité de la situation. Homme adolescent doit être conscient de cet événement. Que ce soit si réel.

          Moins il est important de savoir si la conversation de Jésus avec Nicodème était vrai. Ce qui est important est le message de l’Evangile, parce qu’il parle de sensibilisation auteur de l’Evangile. Rédacteurs conversation est pas très réussie. Heureusement, l’exégèse biblique a pu extraire du sens théologique.

          Au cours de l’étude des textes bibliques Je utilise quelques touches qui me faciliter la compréhension, et a cité les paroles de Jésus sont vraies ou non. Une de ces clés sont par exemple. Le mot sur le cas et situations condamnation. Selon ma foi aperçu il est impossible de Jésus ou Dieu condamne quiconque. Cela découle de la définition du Créateur. Dieu est la perfection de l’amour et de la miséricorde. La condamnation n’est pas compatible avec l’essence et de la définition du Créateur.

          Ce texte péricope Nicodème (Jean 3:14–21) contient les mots: Celui qui croit en lui n’est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu (Jean 3:18). Les paroles de condamnation excluent la vérité des paroles de Jésus. Le mot clé ici est secondaire, mais pas le seul. À partir du verset 14, il reconnaît clairement que le développement de texte théologique (excuses Jésus) écrit par l’auteur de l’Evangile.

Tłumaczenie

          Jeżeli słowa pochodzą od samego Boga, to znaczy, że jest to nowy Jego zamysł. Pragnie On odnowić relację, z człowiekiem poprzez nowe Przymierze. Jezus przynosi Nową Ewangelię. Po ludzku jest to ogromna rewolucja dziejowa. Trzeba dobrze pojąć to zdarzenie. Ludzkość przed Jezusem Chrystusem była związana z Bogiem Przymierzem zbiorowym, poprzez akty opisane w Piśmie świętym. Teraz Jezus proponuje Przymierze indywidualne poprzez chrzest. Każdy powinien z własnej woli stanąć przed Bogiem „twarzą w twarz” i wyrazić akces przynależności do Niego.

          Idea Boga została rozmyta przez chrzest z woli rodziców. Chrzest bez świadomości tego aktu, człowiek oprawił prawem ex opere operato, to znaczy na podstawie dokonanej czynności. Tak więc chrzest dzieci jest skuteczny. Co na to Pan Bóg? Jak uczy historia, Bóg niejednokrotnie zmuszany był do przyjmowania ludzkich rozwiązań (stąd np. wielożeństwo). Dał zresztą takie plenipotencje apostołom.

          Chrzest jest więc nową jakością relacji człowieka z Bogiem. Jest to możliwe przez przybliżenie Boga do ludzi poprzez Syna – Jezusa Chrystusa. Kontynuacją Przymierza chrztu jest sakrament bierzmowania. Wobec obowiązującego prawa kanonicznego sakrament ten powinien mieć bardzo wysoką rangę duchową i powagę sytuacji. Kilkunastoletni człowiek powinien być świadomy tego wydarzenia. Oby tak było naprawdę.

         Mniej ważne jest, czy rozmowa Jezusa z Nikodemem była prawdziwa. Ważny jest przekaz ewangeliczny, bo on mówi o świadomości autora Ewangelii. Redakcja rozmowy jest nie za bardzo udana. Na szczęście egzegeza biblijna potrafiła wydobyć z niej sens teologiczny.

          Podczas badania tekstów biblijnych stosuję pewne klucze, które ułatwiają mi rozeznanie, czy cytowane słowa Jezusa są prawdziwe, czy niekoniecznie. Jednym z takich kluczy są np. słowa dotyczące przypadków i sytuacji potępienia. Według mojego oglądu wiary nie jest możliwe, aby Jezus czy Bóg kogokolwiek potępiał. Wynika to z samej definicji Stwórcy. Bóg jest doskonałością kierującą się miłością i miłosierdziem. Potępienie nie licuje z Istotą i definicją Stwórcy.

          Omawiany tekst perykopy Nikodem (J 3,14–21) zawiera słowa:  Kto wierzy w Niego, nie podlega potępieniu; a kto nie wierzy, już został potępiony, bo nie uwierzył w imię Jednorodzonego Syna Bożego (J 3,18). Słowa potępienia wykluczają prawdziwość słów Jezusa. Klucz słowa jest tu pomocniczy, ale nie jedyny. Od wersetu 14 wyraźnie dostrzega się, że tekst jest opracowaniem teologicznym (apologia Jezusa) napisanym przez autora Ewangelii.

Evangile selon s. Jean 6 i tłumaczenie

          Présentation de Jésus a sa suite. Dans le temple de Jérusalem montre son zèle pour la maison de Dieu. Toutefois, elle est consciente et délibérée. Le fléau chasse les banquiers, les commerçants, le gros gibier sauvage, et les vendeurs de pigeons culte se réfère doucement. Il leur dit de quitter le temple, et appris à ne pas faire des choses marchés dans la maison de son Père. L’événement a surpris au temple des Juifs. Ils ont demandé si, de quel droit. La réponse de Jésus est déjà en train de traiter un auteur théologique de l’Evangile. Il tient dans le contenu des paroles de Jésus prononcées dans d’autres circonstances: Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai (Jean 2:19).  A rappelé les paroles de Jésus sont aussi dans les Évangiles synoptiques (Matthieu 24:1; Marc 13:2; Luc 21:6), ce qui augmente leur crédibilité. Le contenu des paroles de Jésus, cependant, était incompréhensible jusqu’à sa résurrection.

          Il est intéressant de noter quelques détails à la fin de la péricope discuté. Il dit: Mais Jésus ne se fiait point à eux (Jean 2:24). Il est vrai déclaration intervenant. Jésus ne parle pas de lui-même, à propos de sa biographie. A défaut de faire quoi que ce soit de leur vie privée. Probablement, en raison de la taille de la mission, il ne voulait pas rester dans la mémoire comme un homme avec des défauts et l’imperfection humaine, mais comme une personne entourée de la gloire de Dieu, Jésus ne fuit pas son humanité, parce que représente inévitablement un être humain, mais qu’il voulait ou pas d’attention sur des choses moins importantes.

          Après le témoignage de Jean-Baptiste, les étudiants et «l’autorisation» de Jésus, auteur inspiré souligne l’enseignant à partir des contacts avec des personnes de Galilée statut plus élevé. Convocation à la scène où le Pharisien, chef des Juifs, nommé Nicodème vient à Jésus de l’entendre parler de ce qu’il prêchait.

          Nicodème vient la nuit. Je ne veux pas être accusé de favoriser Jésus. Il est prudent. Pose la question très logiquement conçu: qui vint, lui, auprès de Jésus, de nuit, et lui dit: Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n’est avec lui (Jean 3:2). Jésus voit dans Nicodème homme instruit. Il convient donc lui aussi élevé:

Jésus lui répondit: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu (Jean 3:3). Nicodème n’a pas tout à fait suivre Jésus. Perplexe, il demande un peu enfantin: Nicodème lui dit: Comment un homme peut-il naître quand il est vieux? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître? (Jean 3:4). Il développe sa réponse: Jésus répondit: En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu.  Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l’Esprit est Esprit.  Ne t’étonne pas que je t’aie dit: Il faut que vous naissiez de nouveau.  Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d’où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l’Esprit (Jean 3:5–8). Né de l’eau et de l’Esprit est une forme classique de le sacrement du baptême.

          Bien que Nicodème est un homme intelligent, une traduction de Jésus semblait difficile. Une autre expression de Jésus est pas trop pour lui convient: Tu es le docteur d’Israël, et tu ne sais pas ces choses! (Jean 3:10). Ce formulaire est grossier. Il se résume à l’appelant au rez de chaussée. Une autre expression de Jésus a changé la forme d’un fonctionnaire, comme si du bureau: En vérité, en vérité, je te le dis, nous disons ce que nous savons, et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu; et vous ne recevez pas notre témoignage (Jean 3:11). Il est tout à fait possible que ce soit une réduction d’insertion plus tard. Suivant l’auteur revient à la singulière: Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes? (Jean 3:12). La réponse ensemble est complexe et pas totalement compris. Aussi discutable est le verset suivant: Personne n’est monté au ciel, si ce n’est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme qui est dans le ciel (Jean 3:13).

          La péricope ne se termine pas encore, mais il vaut la peine d’essayer d’arrêter démêler ce qui se passe réellement.

           Il faut avoir besoin d’être né de nouveau, cela signifie que la vie existante était en quelque sorte viciée. Ce ne sont pas très convaincantes. L’humanité est déjà des centaines de milliers d’années. Peut-on une phrase discriminatoire de cette période? Comme expliqué dans la note (Jean 3:5), il est un sacrement du baptême et de la nécessité absolue du salut (Jean 1:33, Tite 3:5).

Tłumaczenie

         Prezentacja Jezusa ma swój dalszy ciąg. W świątyni jerozolimskiej pokazuje swoją gorliwość o dom Boży. Działa jednak świadomie i z rozmysłem. Biczem wypędza bankierów, kupców grubej zwierzyny, a do sprzedawców gołębi  kultowych odnosi się łagodniej. Każe im opuścić świątynię, pouczając, aby nie robili targowiska w domu Jego Ojca. Zdarzenie w świątyni zaskoczyło Żydów. Pytali więc, jakim prawem to czyni. Odpowiedź Jezusa jest już obróbką teologiczną autora Ewangelii. Wpasowuje w treść słowa Jezusa wypowiedziane w innych okolicznościach: Zburzcie tę świątynię, a Ja w trzech dniach wzniosę ją na nowo (J 2,19). Przywołane słowa Jezusa występują również  w ewangeliach synoptycznych (Mt 24,1; Mk 13,2; Łk 21,6), co zwiększa ich wiarygodność. Treść słów Jezusa była jednak niezrozumiała, aż do czasu  Jego zmartwychwstania.

          Warto odnotować pewien szczegół pod koniec omawianej perykopy. Jest napisane: Jezus natomiast nie zwierzał się im (J 2,24). To wtrącone stwierdzenie jest prawdą. Jezus nie opowiadał o sobie, o swoim życiorysie. Nie przekazywał nic ze swojej prywatności. Prawdopodobnie, ze względu na wielkość misji nie chciał pozostać w pamięci jako człowiek z wadami i ludzką niedoskonałością, lecz jako osoba otoczona Bożą chwałą Jezus nie ucieka od swojego człowieczeństwa, bo siłą rzeczy reprezentuje istotę ludzką, ale chodziło Mu o to, aby nie zwracano uwagi na rzeczy mniej istotne.

          Po świadectwie Jana Chrzciciela, uczniów i „autoryzacji” samego Jezusa,  natchniony autor naświetla kontakty Nauczyciela z Galilei z osobami wyższego stanu. Przywołuje do tego scenę, kiedy to faryzeusz, dostojnik żydowski o imieniu Nikodem, przychodzi do Jezusa, aby od Niego samego usłyszeć to, co głosił.

          Nikodem przychodzi nocą. Nie chce być posądzany o sprzyjanie Jezusowi. Jest ostrożny. Stawia pytanie bardzo logicznie skonstruowane: Rabbi, wiemy, że od Boga przyszedłeś jako nauczyciel. Nikt bowiem nie mógłby czynić takich znaków, jakie Ty czynisz, gdyby Bóg nie był z Nim (J 3,2). Jezus widzi w Nikodemie człowieka wykształconego. Odpowiada mu więc podobnie, na wysokim poziomie:  Zaprawdę, zaprawdę, powiadam ci, jeśli się ktoś nie narodzi powtórnie, nie może ujrzeć królestwa Bożego (J 3,3). Nikodem nie za bardzo rozumie Jezusa. Zbity z tropu, pyta trochę infantylnie: Jakżeż może się człowiek narodzić będąc starcem? Czyż może powtórnie wejść do łona swej matki i narodzić się? (J 3,4). Jezus rozwija swoją odpowiedź:  Zaprawdę, zaprawdę, powiadam ci, jeśli się ktoś nie narodzi z wody i z Ducha, nie może wejść do królestwa Bożego. To, co się z ciała narodziło, jest ciałem, a to, co się z Ducha narodziło, jest duchem.  Nie dziw się, że powiedziałem ci: Trzeba wam się powtórnie narodzić. Wiatr wieje tam, gdzie chce, i szum jego słyszysz, lecz nie wiesz, skąd przychodzi i dokąd podąża. Tak jest z każdym, który narodził się z Ducha (J 3,5–8). Narodzenie z wody i z Ducha jest klasyczną formą sakramentu chrztu.

          Mimo że Nikodem jest inteligentnym człowiekiem, tłumaczenie Jezusa wydało mu się trudne. Dalsza wypowiedź Jezusa nie za bardzo do Niego pasuje: Ty jesteś nauczycielem Izraela, a tego nie wiesz? (J 3,10). Forma ta jest niegrzeczna.  Sprowadza rozmówcę do parteru. Dalsza wypowiedź Jezusa zmienia się na formę oficjalną, jakby z urzędu:  Zaprawdę, zaprawdę, powiadam ci, że to mówimy, co wiemy, i o tym świadczymy, cośmy widzieli, a świadectwa naszego nie przyjmujecie (J 3,11). Całkiem możliwe, że jest to późniejsza wstawka redakcyjna. Dalej autor wraca do liczby pojedynczej: Jeżeli wam mówię o tym, co jest ziemskie, a nie wierzycie, to jakżeż uwierzycie temu, co wam powiem o sprawach niebieskich? (J 3,12). Całość odpowiedzi jest zawiła i nie do końca zrozumiała. Wątpliwy jest też następny werset:  I nikt nie wstąpił do nieba, oprócz Tego, który z nieba zstąpił – Syna Człowieczego (J 3,13).

          Perykopa nie kończy się jeszcze, ale warto zatrzymać się, aby spróbować rozwikłać, o co tu tak naprawdę chodzi.

          Jeżeli trzeba się powtórnie narodzić, to znaczy, że dotychczasowe życie było w jakiś sposób ułomne. Nie bardzo jest to przekonywujące. Ludzkość istnieje już setki tysięcy lat. Czy można jednym zdaniem z dyskryminować ten okres?  Jak pisze w przypisie (J 3,5), chodzi tu o sakrament chrztu i  absolutną konieczność zbawienia (J 1,33; Tt 3,5).

Evangile selon s. Jean 5 i tłumaczenie

          Dans la péricope Premiers résultats de témoignage de Jean-Baptiste (Jean 1:35–51) auteur étend les données sur le témoignage de Jésus sur ses disciples, qu’il appelait: André (frère de Simon), qui a d’abord été un disciple de Jean le Baptiste, et Simon, Philippe et Nathanaël. Philip répète les paroles de Jean: Tu es le Fils de Dieu (Jean 1:49). Le mode de nomination des disciples par Jésus est tout à fait différentes de celles décrites dans les Evangiles synoptiques. Ceci est probablement pas le plus important. Ici, il ressemble plus à une liste des étudiants qui avaient quelque chose à voir avec Jean-Baptiste. L’auteur tient à dire sans équivoque que Jésus est le Fils de Dieu et a une extraordinaire capacité à: je t’ai vu sous le figuier, tu crois; tu verras de plus grandes choses que celles-ci (Jean 1:50). Ainsi, au début de tenter de décrire la façon dont le message de l’Evangile. Pour cela, il avait besoin d’un témoignage crédible de Jésus.

          Maintenant vient l’autorisation de Jésus lui-même. L’auteur utilise la scène des noces de Cana (Jean 2,1-12). Jésus, sa mère et ses disciples ont été invités à la noce. Apparemment, le plaisir serait bon que le vin a manqué. Quelque chose comme ça ne se produit pas souvent. Il doit exister une certaine confusion et d’anxiété hôtes, qui ont vu Marie. Il vient à Jésus, et par le manque d’audace ne pas exprimer des demandes, mais communique Fils: Ils n’ont pas de vin (Jean 2 :3). Jésus n’est pas satisfait. Mon heure n’est pas encore venue (Jean 2:4). Marie est confiant que le Fils ne quitte pas la question à son cross-country. Demande aux fonctionnaires pour aider Jésus. Contrainte de la situation délicate est typique dans la relation de la mère et le fils. Mère domine le Fils, et il est lui obéissant. . Jésus, bon gré mal gré, donner des ordres:  Remplissez d’eau ces vases (Jean 2:7). Puis, immédiatement fait un match nul et le prendre au maître du repas. Les coûts et sont surpris d’apprendre que, à la fin du mariage, le marié sert le bon vin. Témoigner le miracle était que la mère de Jésus, les disciples et les serviteurs de la noce.

         On pourrait se demander: Comment la mère de Jésus ne fut au courant des possibilités de son Fils? Il est difficile de deviner. Mère habituellement sais très bien de leurs enfants et de savoir ce que vous pouvez attendre d’eux. Les disciples ont vu Jésus dans une situation nouvelle. Ils ont constaté que non seulement raconte une intéressante et sage, mais est capable de faire des miracles (caractères). Le miracle ne pouvait être organisé, préparé, car il est arrivé un peu par hasard (spontanément). Il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui (Jean 2:11). Vous pourriez dire que Jésus dirigé vers l’Évangile. A partir de maintenant va collaborer activement avec Jésus dans son œuvre de rédemption qu’après sa mort.

        Le miracle de Cana est montré que dans l’Évangile de Jean. Pourquoi les prévisionnistes ne mentionnent pas dans leurs évangiles? Il est difficile de répondre à cette question. Peut-être pour des miracles et des signes de guérison de gens (surtout les nombreux cas graves de la maladie) à venir, cet événement est devenue floue dans la mémoire. Auteur John le tira du fond de la mémoire, car il adapte son concept de récit.

Tłumaczenie

          W następnej perykopie Świadectwo uczniów (J 1,35–51) autor rozszerza dane na temat Jezusa o świadectwo Jego uczniów, których powołał: Andrzeja (brata Szymona), który najpierw był uczniem Jana Chrzciciela, oraz Szymona, Filipa i Natanaela.  Filip powtarza słowa Jana: Ty jesteś Synem Bożym (J 1,49). Sposób powoływania uczniów przez Jezusa jest zgoła inny, niż opisany u ewangelistów synoptycznych. Prawdopodobnie nie jest to najważniejsze. Tu wygląda to raczej na wymienienie uczniów, którzy mieli coś wspólnego z Janem Chrzcicielem. Autor pragnie jednoznacznie powiedzieć, że Jezus jest Synem Bożym i posiada nadzwyczajne zdolności: Widziałem cię pod drzewem figowym… Zobaczysz jeszcze więcej niż to (J 1,50).  Tym samym stara się na początku Ewangelii nakreślić drogę przekazu. Do tego potrzebował wiarygodnego świadectwa o Jezusie.

          Teraz przychodzi kolej na autoryzację samego Jezusa. Autor korzysta ze sceny wesela w Kanie Galilejskiej (J 2,1–12). Jezus, Jego Matka i uczniowie zostali zaproszeni na wesele. Widocznie zabawa miała się dobrze, skoro zabrakło wina. Coś takiego nie zdarza się często. Musiało zaistnieć jakieś zamieszanie i niepokój gospodarzy, który zauważyła Maryja. Przychodzi do Jezusa i przez brak śmiałości nie wyraża prośby, lecz komunikuje Synowi: Nie mają  już wina (J 2,3). Jezus nie jest zadowolony. Jego godzina jeszcze nie nadeszła (J 2,4). Maryja jest pewna,  że Syn nie zostawi sprawy swojemu biegowi. Zwraca się do sług, aby pomogli Jezusowi. Delikatny przymus sytuacyjny jest typowy w relacji matki i syna. Matka góruje nad Synem, a On jest Jej posłuszny.  Jezus, chcąc nie chcąc, wydaje rozkazy: Napełnijcie stągwie wodą (J 2,7). Następnie od razu każe z nich zaczerpnąć i zanieść staroście weselnemu. Ten kosztuje i dziwi się, że przy końcu wesela pan młody serwuje doskonałe wino. Świadkami cudu byli jedynie Matka Jezusa, uczniowie i słudzy weselni.

          Można zadać pytanie: Skąd Matka Jezusa wiedziała o możliwościach swego Syna? Trudno zgadnąć. Matki najczęściej bardzo dobrze znają swoje dzieci i wiedzą, co można się po nich spodziewać. Uczniowie zobaczyli Jezusa w nowej sytuacji. Przekonali się, że nie tylko mówi ciekawie i mądrze, ale jest zdolny do czynienia cudów (znaków). Cud nie mógł być zaaranżowany, przygotowany, bo zdarzył się całkiem przypadkowo (spontanicznie). Jezus objawił swoją chwałę  i uwierzyli w Niego Jego uczniowie (J 2,11). Maryja odegrała tu szczególną rolę. Można powiedzieć, że nakierowała Jezusa w stronę Ewangelii. Od tej pory będzie czynnie współpracować z Jezusem w Jego dziele Odkupienia, aż po Jego śmierć.

          Cud w Kanie Galilejskiej jest przedstawiony tylko w Ewangelii Jana. Dlaczego synoptycy nie wspomnieli o nim w swoich ewangeliach?  Trudno odpowiedzieć na to pytanie. Być może, wobec przyszłych cudów i znaków uzdrawiania ludzi (zwłaszcza z wielu ciężkich przypadków chorób), to zdarzenie zatarło się w pamięci. Autor Ewangelii Jana wydobył go z zakamarków pamięci, bo pasował do jego koncepcji narracyjnej.

Evangile selon s. Jean 4 i tłumaczenie

          Pour la vie de Jean-Baptiste, réparties croyance erronée que lui-même était le Messie promis. L’auteur a discuté de l’Evangile, immédiatement après le prologue met pericope Témoignage de Jean-Baptiste (Jean 1:19–34). Ainsi, il veut montrer clairement le caractère de John et son rôle à jouer. Dans le texte du prophète Jean a dit clairement: il déclara qu’il n’était pas le Christ  (Jean 1:20). Sur la question de savoir qui est le Messie ou prophète  Il réponse simplement: Je suis la voix de celui qui crie dans le désert (Jean 01:23). Il Faut admettre que la réponse est dramatique. Celui qui crie dans le désert, dans la place vide et dépourvue de personnes, pas beaucoup est entendu. La proclamation par Jean vérité est donc difficile. Puis il se réfère aux paroles d’Isaïe : planissez le chemin du Seigneur (Jean 1:23). Qui est-il fait? Jeanse présente mission aussi impuissant qu’il avait à remplir. Me diminuer, pour vous dire que juste à venir: je ne suis pas digne de délier la courroie de ses souliers (Jean 1:27). L’auteur explique la différence entre Jean et Jésus. Jean a baptisé avec de l’eau, prêchant un baptême de repentir pour la rémission des péchés (Marc 1,4), tandis que Jésus a baptisé du Saint-Esprit, et caressa les péchés du monde. L’auteur écrit que Jean connaissait déjà Jésus? Il est assez déroutant de l’Evangile de Luc, qui décrivent l’intimité de Marie (mère de Jésus) et Elizabeth (mère de Jean). Cela signifierait que, dans sa jeunesse Jésus n’a pas manifester un rendez-vous plus tard, ou ne donne pas de lui faire savoir les plans futurs. Selon l’auteur, Jean lui donne le témoin pleine. il est le Fils de Dieu (Jean 1:34). On peut poser la question: Est-ce vraiment les paroles de Jean, l’auteur de l’édition Evangile? Comment écrire Matthieu et de Luc, Jean-Baptiste en prison, et donc le baptême de Jésus, avait des doutes sur lui et faire en sorte qu’il a envoyé à la délégation de ses deux disciples Maître de Nazareth, en demandant: Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre? (Matthieu 11:3; Luc 7:19). Il semble, par conséquent, que ces paroles ont été prononcées pas John. Oui, il pouvait sentir la figure extraordinaire de Jésus, mais il avait, pour lui, bien sûr. L’Evangile de Jean semble être si même comme une élaboration théologique.

Tłumaczenie

          Za życia Jana Chrzciciela rozpowszechniło się błędne przekonanie, jakoby to on sam był obiecanym Mesjaszem.  Autor omawianej Ewangelii, zaraz po Prologu umieszcza perykopę Świadectwo Jana Chrzciciela (J 1,19–34). Tym samym chce jednoznacznie pokazać postać Jana i jego rolę do spełnienia. W tekście prorok Jan mówił jednoznacznie: Ja nie jestem Mesjaszem (J 1,20). Na pytania kim jest, Mesjaszem czy prorokiem  odpowiada skromnie: Jam jest głos wołającego na pustyni (J 1,23). Trzeba przyznać, że odpowiedź jest dramatyczna. Ten, kto woła na pustyni, w miejscu pustym i pozbawionym ludzi, nie bardzo jest słyszalny. Głoszenie przez Jana Prawdy jest zatem trudne. Zaraz potem powołuje się na słowa Izajasza: Prostujcie drogę Pańską (J 1,23). Kto ma to czynić? Jan przedstawia się jako bezradny wobec misji, jaką przyszło mu pełnić. Umniejsza siebie, aby przekazać, że właśnie nadchodzi Ten, któremu nie jest godzien odwiązać rzemyka u Jego sandała (J 1,27).  Autor wyjaśnia różnicę między Janem a Jezusem.  Jan chrzcił wodą i głosił chrzest nawrócenia na odpuszczenie grzechów (Mk 1,4), natomiast Jezus chrzcił Duchem Świętym i gładził grzechy świata. Autor pisze, że Jan wcześniej nie znał Jezusa? Jest to dość zagadkowe wobec Ewangelii Łukasza, który opisywał zażyłość Maryi (matki Jezusa) z Elżbietą (matką Jana). Może słowa te świadczą, że Jan nie znał Jezusa od strony Jego misji. Znaczyło by to, że w latach młodości Jezus nie przejawiał późniejszego powołania, albo nie dawał po sobie poznać przyszłych planów. Według autora, Jan daje o Nim pełne świadectwo. On jest Synem Bożym (J 1,34). Można postawić pytanie: Czy są to faktycznie słowa Jana, czy autora redagującego Ewangelię? Jak piszą Mateusz i Łukasz, Jan Chrzciciel będąc  w więzieniu, a więc po Chrzcie Jezusa, miał wątpliwości co do Niego i aby się upewnić, posłał do Nauczyciela z Nazaretu delegację swoich dwóch uczniów, z zapytaniem: Czy Ty jesteś Tym, który ma przyjść, czy też innego mamy oczekiwać? (Mt 11,3; Łk 7,19).  Wydaje się więc, że słowa takie nie padły z ust Jana. Owszem mógł wyczuwać niezwykłą postać Jezusa, ale nie miał, co do Niego pewności. Ewangelia Jana jawi się więc już jako opracowanie teologiczne.

Evangile selon s. Jean 3 i tłumaczenie

          Est-il possible de s’opposer à l’Évangile de Jean? Si la réponse est oui, sans doute la construction de la foi chrétienne serait tombé
en ruines[1]. Réaction en chaîne serait briser le dogme chrétien. Il semble que les grands événements humains sont eschatologique de pré-existentielle. La foi rationnelle (filozoteizm) arrive à la même conclusion finale que l’enseignement officiel de l’Église. Il faut accepter qu’il existe différentes manières de la foi (car il y a différentes églises chrétiennes). Tout le monde peut assimiler ce qui est plus proche de moi. Laissez tout le monde a le confort et le droit à l’auto-évaluation et de la foi.

          Au verset Prologue: En elle était la vie, et la vie était la lumière des hommes.  La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue (Jean 1:4–5) montre la lutte entre la lumière et l’obscurité. Cet antagonisme (dichotomie) est un reflet de la lutte de Jésus-Christ. Prédicateur lumière de Jean le Baptiste, qui a été envoyé par Dieu pour en attester.

          L’auteur suggère que Dieu comme Jésus est venu sur terre, mais par de nombreux non reconnu. Ceux qui l’ont accueilli, il a donné le pouvoir. Ils sont devenus enfants de Dieu. Les enfants de Dieu sont seulement ceux qui croient en Dieu. On peut discuter avec cette thèse.

          Il doit rester dans le verset: nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père (Jean 1:14). Est la phrase se réfère à plein de gloire plus-né, si elle est une annonce plus tard exaltation de Jésus sur la croix?

          Jean-Baptiste annonce: Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme (Jean 1:9). L’auteur laisse entendre clairement dans les paroles de Jean de la pré-existence de Jésus. Mais est-il vrai message des paroles de Jean-Baptiste? Transferts autres évangélistes ne donnent pas une réponse définitive.

          Dans les mots: Et nous avons tous reçu de sa plénitude, et grâce pour grâce (Jean 1:16) glisse vérité sur les fruits du ministère de Jésus.

          La fin du prologue, dans un sens, sur la crédibilité du message: Personne n’a jamais vu Dieu (Jean 1:18). Alors, comment décrire quelque chose qui est au-delà du voile de l’inspection humaine? L’auteur écrit: car la loi a été donnée par Moïse (Jean 1:17). Cela montre sa conscience des communications humaines insérés dans la «bouche» de Dieu “.


[1] En ce sens, il ne serait pas conforme.

Tłumaczenie

          Czy można sprzeciwić się Ewangelii Jana? Gdyby padła odpowiedź tak, prawdopodobnie konstrukcja wiary chrześcijańskiej ległaby w gruzach[1]. Reakcją łańcuchową pękałyby dogmaty chrześcijańskie. Wydaje się, że dla człowieka ważniejsze są zdarzenia eschatologiczne, niż pre-egzystencjalne. Wiara rozumna (filozoteizm) dochodzi do tych samych końcowych wniosków, co oficjalna nauka kościelna. Trzeba pogodzić się, że są różne oglądy wiary (jak różne są kościoły chrześcijańskie). Każdy może przyswoić sobie to, co jest mu bliższe. Niech każdy ma komfort i prawo do własnej oceny i wiary.

          W wersecie Prologu: W Nim było życie,  a życie było światłością ludzi, a światłość w ciemności świeci i ciemność jej nie ogarnęła (J 1,4–5) pokazana jest walka między światłem a ciemnością. Ów antagonizm (dychotomia) jest odbiciem walki Jezusa Chrystusa. Głosicielem o Światłości jest Jan Chrzciciel, który został posłany przez Boga, aby o tym zaświadczyć.

          Autor sugeruje, że Bóg w postaci Jezusa zszedł na ziemię, ale przez wielu nie został rozpoznany. Ci, którzy Go przyjęli dało moc. Stali się dziećmi Bożymi. Dziećmi Bożymi są tylko ci, którzy w Boga uwierzyli. Można z tą tezą polemizować.

          Warto zatrzymać się na wersecie: I oglądaliśmy Jego chwałę, chwałę, jaką Jednorodzony otrzymuje od Ojca, pełen łaski i prawdy (J 1,14). Czy zdanie dotyczy już narodzonego pełnego chwały, czy jest to zapowiedź późniejszego wywyższenia Jezusa na krzyżu?

          Jan Chrzciciel zapowiada: Ten, który po mnie idzie, przewyższył mnie godnością, gdyż był wcześniej ode mnie (J 1,9). Autor wyraźnie sugeruje w słowach Jana preegzystencję Jezusa. Czy jest to jednak przekaz prawdziwych słów Jana Chrzciciela?  Przekazy innych ewangelistów nie dają jednoznacznej odpowiedzi.

          W słowach: Z Jego pełności wszyscyśmy otrzymali – łaskę po łasce(J 1,16) prześlizguje się prawda o owocach działalności Jezusa.

          Zakończenie Prologu w pewnym sensie uderza w wiarygodność przekazu: Boga nikt nigdy nie widział (J 1,18). Jak więc można opisywać coś, co jest za zasłoną ludzkiego oglądu? Autor pisze: Podczas gdy Prawo zostało nadane przez Mojżesza (J 1,17). Świadczy to o jego świadomości przekazów ludzkich wkładanych  w „usta” Boga”.


[1]  W tym sensie, że nie byłaby spójna.

Evangile selon s. Jean 2 i tłumaczenie

         L’Evangile de Jean commence Prologue (Jean 1:1–18), qui est un hymne. Comme la Genèse, il commence par les mots: Au commencement, Dieu (Genèse 1:1), de sorte que les mots d’ouverture Prologue: Au commencement était la Verbe (Jean 1:1). Comme voir le mot «Dieu» a été remplacé par l’expression «verbe». Pour Grec “verbe” est “Logos“. Ce terme en Grèce a sa propre signification particulière. Il se rencontre principalement dans les philosophes stoïciens, ce qui signifie le principe de logos créatifs. Les Juifs, comme les Grecs ont adopté le terme «Dieu». A les mêmes logos de temps est un terme qui décrit le message, et donc le Logos–la Verbe (Parole) de Dieu parle. Contexte exégètes voit la sagesse du Logos (la sagesse du Seigneur) dans la littérature de la sagesse de l’Ancien Testament, comme : L’Éternel m’a créée la première de ses oeuvres, Avant ses oeuvres les plus anciennes. J’ai été établie depuis l’éternité, Dès le commencement, avant l’origine de la terre (Proverbes 8:22–23); Sagesse se loue, se targue dans le milieu de son peuple. Il ouvre la bouche lors de la réunion de la Cour suprême et de la sorte de brouillard couvrait la terre. Je vivais à des altitudes (Sir 24:1–4).

          Jean l’Evangéliste en termes de Logos réglé Jésus. Incarnation sujet occupe la partie centrale des écrits de Jean et dans le Nouveau Testament. Jean imposé la pensée théologique. Jésus a placé au tout début du monde. Ainsi, il est opposé à la doctrine gnostique qui voulait maintenir la pureté absolue de la transcendance de Dieu, le Logos-Verbe et a nié que la Verbe (Parole) devint chair.

          Quand on lit le prologue, il faut être conscient de ce que l’auteur a voulu transmettre. Autre lecture, il peut littéralement vrai, serait un malentendu. Jean l’Evangéliste imposé une interprétation christologique des événements. L’Eglise est accepté et adopté comme vérité dérivé de l’inspiration divine. Peut-on opposer à l’Evangile?

          La thèse selon laquelle le concept du Logos est intégré Jésus impose une interprétation christologique du texte. Donc, le troisième verset: Toutes choses ont été faites par elle (Jean 1:3), il suggère que Jésus, dans la communion avec Dieu est le Créateur du monde. Au XIVe ce verset:  Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. (Jean 1,14) est rien d’autre que la naissance de Dieu dans le corps humain.

          Malgré les belles structures de la foi il y a un doute. Jean est transmettre vérité, ou simplement introduit une image théologique? Refroidir l’approche du sujet, je dois dire que le surnaturel est au-delà de l’espace et de voir au-delà de la raison un homme. L’imagerie est quelque chose qui remplace l’infirmité humaine.

          Tradition a produit un certain nombre de concepts qui ont pris racine dans le cœur des générations et de la mentalité sémitique. Tableau peint par Jean est pas une description réelle de la réalité surnaturelle. Est une compilation de croyances il y a des milliers d’années. Jean scellé et a autorisé les croyances de leurs ancêtres. Jésus Christ est le Verbe de Dieu incarné. Jean a donné un cours frais dans la théologie. Il aggravée dans le sens de la Sainte Trinité, une autre image de Dieu. Théologie élargi pour inclure de nouveaux aspects de la foi. Cela a conduit la religion chrétienne soit ce qu’elle est aujourd’hui. Filozoteizm y voit beaucoup de contradictions, et il vient à la lecture de l’Écriture.

Tłumaczenie

          Ewangelia Jana zaczyna się Prologiem (J 1,1–18), który ma charakter hymnu. Podobnie jak Księga Rodzaju, zaczyna się słowami: Na początku Bóg… (Rdz 1,1), tak i Prolog otwierają słowa: Na początku było Słowo (J 1,1). Jak widać słowo „Bóg” zastąpiono wyrażeniem „Słowo”.  Po grecku „słowo” brzmi „Logos”. Termin ten w Grecji ma swoje specjalne znaczenie. Spotyka się go  przede wszystkim u stoickich filozofów, dla których logos oznaczał zasadę stwórczą. Żydzi, podobnie jak Grecy przyjęli to określenie jako „Bóg”. Jednocześnie logos jest terminem określającym przekaz, a więc Logos-Słowo to przemawiający Bóg. Egzegeci dopatrują się kontekstu mądrości Logosu (mądrość Pana) w księgach mądrości Starego Testamentu, jak np.: Pan mnie stworzył, swe arcydzieło, jako początek swej mocy, od dawna,  od wieków jestem stworzona,  od początku, nim ziemia powstała (Prz 8,22–23); Mądrość wychwala sama siebie, chlubi się pośród swego ludu. Otwiera swe usta na zgromadzeniu Najwyższego i niby mgła okryłam ziemię. Zamieszkałam na wysokościach (Syr 24,1–4).

          Jan Ewangelista w pojęciu Logosu osadził Jezusa. Temat wcielenia zajmuje centralną część w pismach Janowych, jak i w całym Nowym Testamencie. Jan narzucił myśl teologiczną. Umiejscowił Jezusa na samym początku świata. Tym samym sprzeciwił się doktrynie gnostyckiej, która chciała zachować absolutną czystość transcendencji Bożego Logosu-Słowa i negowała, że Słowo stało się ciałem.

          Kiedy czyta się Prolog, trzeba mieć świadomość, co chciał przekazać autor. Inne odczytywanie, może literalnie słuszne, będzie nieporozumieniem. Jan Ewangelista narzucił chrystologiczną interpretację zdarzeń. Kościół  to zaakceptował i przyjął jako prawdę pochodzącą z natchnienia Bożego. Czy można więc sprzeciwić się Ewangelii?

          Teza, że pod pojęciem Logosu jest osadzony Jezus narzuca chrystologiczną interpretację tekstu. Tak więc trzeci werset: Wszystko przez Nie się stało (J 1,3) sugeruje, że Jezus w łączności z Bogiem jest Stwórcą świata. W czternastym tym wersecie: A Słowo stało się ciałem i zamieszkało wśród nas. I oglądaliśmy Jego chwałę (J 1,14) jest niczym innym, jak narodzeniem się Boga w ciele ludzkim.

          Pomimo pięknej konstrukcji wiary pojawia się wątpliwość. Czy Jan przekazał prawdę rzeczywistą, czy wprowadził jedynie obraz teologiczny? Chłodno podchodząc do tematu trzeba powiedzieć, że przestrzeń nadprzyrodzona jest poza zasięgiem rozumu i poza oglądem człowieka. Obrazowanie jest czymś, co zastępuje ludzką niemoc. Tradycja wytworzyła wiele pojęć, które zakorzeniły się w sercach pokoleń i w mentalności semickiej. Obraz namalowany przez Jana nie jest rzeczywistym opisem nadprzyrodzonej rzeczywistości. Jest kompilacją wierzeń sprzed tysięcy lat. Jan przypieczętował i autoryzował wierzenia przodków. Jezus Chrystus jest Wcielonym Słowem Boga.  Jan nadał świeży bieg teologii. Pogłębił ją w kierunku Trójcy Świętej, kolejnego obrazu Boga. Teologia poszerzyła się o nowe aspekty wiary. W konsekwencji powstała religia chrześcijańska taka, jaka jest obecnie. Filozoteizm dostrzega w niej wiele sprzeczności i to z lektury tylko samego Pisma świętego.

 

Evangile selon s. Jean 1 i tłumaczenie

         La tradition attribue la paternité de la quatrième Evangile, Jean, fils de Zébédée et frère de Jacques aîné. Initialement, Jean était l’un des disciples de Jean le Baptiste, et seulement plus tard rejoint à Jésus et à devenir son disciple. Une analyse approfondie du texte de l’Evangile de Jean dernières recherches moyens et méthodes de l’herméneutique suggère que l’Evangile a été écrit par une équipe (peut-être une école de Jean) qui a présenté le texte préparé par le concept théologique destiné. Par exemple, les descriptions des miracles ne sont pas présentées comme des faits historiques, mais plutôt comme des «signes» de l’authenticité de Jésus. Les discours de Jésus ne sont pas structurés recueil de discours littéraires, mais ils sont traités théologiques. Au lieu de paraboles, tant dans les Évangiles synoptiques, les images passent en allégories. Mettez-les ensemble, l’Evangile est une grande apologie de Jésus-Christ. On sent qu’elle est en quelque sorte une réaction à la gnose alors en vogue Kerynta, qui a nié l’existence de l’élément humain dans le Christ. Soulignant l’humanité de Jésus Evangile pousse la thèse pré-existence de la Parole Divine (Logos) que la deuxième personne de la Trinité. Le concept du Logos est très accepté dans l’Évangile. L’Evangile donne l’impression qu’il a été écrit pour la méditation. Ceci est indiqué par des rythmes scrupuleusement observées. Clément d’Alexandrie (II-III siècle après JC.) Évangile communément appelé “Evangile spirituel».

          L’Evangile de Jean diffère des évangiles synoptiques. On a l’impression que tout le ministère de Jésus se déroule à Jérusalem, à la différence des textes synoptiques, où séjour à Jérusalem sont traités assez sommaires. La période de l’Evangile comprend trois de la Pâque (Jean 2:13, 6:4, 11:55). Comme les évangiles synoptiques sont pleins d’histoires, de sorte que l’Evangile de Jean est plus sévère. Le vocabulaire est pauvre et regorge de nombreuses répétitions. La Période de l’Evangile Comprend trois de la Paque (Jean 2.13, 6.4, 11.55). Comme les évangiles synoptiques sont pleins d’histoires, de sorte que l’Evangile de Jean est plus sévère. Le vocabulaire est pauvre et regorge de nombreuses répétitions. Evangile, Jésus parle surtout d’eux-mêmes, contrairement à la Evangiles synoptiques Jésus, qui proclame le royaume de Dieu. L’Evangile de Jean, d’une part, il semble que le plus simple des quatre évangiles, mais d’autre part est la plus difficile à comprendre. Pour les chercheurs est un mystère continue. De nombreuses questions ne sont pas résolues à la paternité et les couches de composition.

          L’Evangile a deux terminaisons dans les chapitres 20 et 21, ce qui indique un processus de rédaction assez complexe. Probablement la première partie a été écrit en araméen. Penser à un nouveau public, la première partie a été traduite en grec et en outre complétée. Peut-être alors il ajoute un hymne au Logos qui est devenu le prologue de l’Evangile.

          Gospel héros sont souvent des figures symboliques [1]. Ils peuvent être librement configurés, ce qui donne l’effet désiré adhésion à Jésus ou le rejet.


[1] Gianfranco Ravasi, la Bible pour tout le monde, le Nouveau Testament, éd. Unité, Kielce 2007, p. 293.

Tłumaczenie

Ewangelia wg Jana

          Tradycja przypisuje autorstwo czwartej Ewangelii Janowi, synowi Zebedeusza i brata Jakuba Starszego. Początkowo Jan należał do uczniów Jana Chrzciciela, a dopiero później dołączył do Jezusa i stał się Jego uczniem. Dokładna analiza tekstu Ewangelii Jana najnowszymi środkami badawczymi i metodami hermeneutyki sugeruje, że Ewangelia ta była pisana przez jakiś zespół (być może szkołę Jana), który przedstawił opracowany tekst według zamierzonej koncepcji teologicznej. I tak na przykład opisy cudów nie są przedstawione jako fakty historyczne, lecz jako „znaki” potwierdzające autentyczność Jezusa. Mowy Jezusa nie są zbiorem przemówień literacko uporządkowanych, lecz są traktatami teologicznymi. Zamiast przypowieści, tak licznych w ewangeliach synoptycznych, są obrazy przechodzące w alegorie. Ujmując całość, Ewangelia jest jedną wielką apologią Jezusa Chrystusa. Wyczuwa się, że jest ona w pewnym sensie reakcją na ówcześnie popularną gnozę Kerynta, która zaprzeczała istnienia pierwiastka ludzkiego w Chrystusie. Akcentując człowieczeństwo Jezusa Ewangelia forsuje tezę preegzystencji Boskiego Słowa (Logos) jako drugiej Osoby Trójcy. Pojęcie Logosu jest bardzo mocno zaakceptowane w Ewangelii. Ewangelia sprawia wrażenie, że została napisana do medytacji. Wskazują na to skrupulatnie przestrzegane rytmy. Od Klemensa Aleksandryjskiego (II–III wiek po Chr.) Ewangelię zwykło się nazywać mianem „Ewangelii duchowej”.

          Ewangelia Jana różni się od ewangelii synoptycznych. Odnosi się wrażenie, że cała działalność Jezusa odbywa się w Jerozolimie,  w przeciwieństwie do tekstów synoptycznych, w których pobyt w Jerozolimie traktuje się dość pobieżnie. Okres Ewangelii obejmuje trzy święta Paschy (J 2,13; 6,4; 11,55). Jak ewangelie synoptyczne są pełne opowiadań, tak Ewangelia Jana jest surowsza. Słownictwo jest ubogie i obfituje w liczne powtórzenia. Jezus Ewangelii mówi głównie o sobie, w przeciwieństwie do Jezusa ewangelii synoptycznych, który głosi królestwo Boże. Ewangelia Jana z jednej strony wydaje się najprostsza z czterech ewangelii, ale z drugiej strony jest najtrudniejsza do zrozumienia. Dla biblistów jest ciągłą zagadką. Wiele kwestii jest nierozstrzygniętych, co do autorstwa i warstw kompozycyjnych.

           Ewangelia ma dwa zakończenia w rozdziałach 20 i 21, co świadczy o dość skomplikowanym procesie redakcyjnym. Prawdopodobnie pierwsza część została napisana w języku aramejskim. Myśląc o nowej grupie odbiorców, pierwsza część została przetłumaczona na język grecki i dodatkowo uzupełniona. Być może wtedy został dopisany hymn do Logosu, który stał się prologiem Ewangelii.

          Bohaterami Ewangelii są często postacie symboliczne[1]. Można je dowolnie konfigurować, co daje zamierzony efekt przylgnięcia do Jezusa  lub odrzucenia.


[1]  Gianfranco Ravasi, Biblia dla każdego, Nowy Testament, Wyd. Jedność, Kielce 2007, s. 293.

Evangile selon s. Luc 57 i tłumaczenie

          Dans la péricope Les disciples d’Emmaüs (Luc 24:13–35) se trouve uniquement dans l’évangile de Luc. Deux étudiants (l’un d’eux est Cléopas) vont à Emmaüs, dans leur façon de rencontrer un homme qui avéré être Jésus-Christ. Ils parlent avec lui, ne sachant pas parler de qui. Les évangélistes suggèrent que Jésus ressuscité a mangé le pain avec eux, comme un homme ordinaire: Jésus leur dit: Venez, mangez […] Jésus s’approcha, prit le pain, et leur en donna; il fit de même du poisson (J 21:12–13). Pendant qu’il était à table avec eux, il prit le pain; et, après avoir rendu grâces, il le rompit, et le leur donna (Luc 24:30). Comme, dans leur joie, ils ne croyaient point encore, et qu’ils étaient dans l’étonnement, il leur dit: Avez-vous ici quelque chose à manger? Ils lui présentèrent du poisson rôti et un rayon de miel (Luc 24:41–42). Luc, bien sûr, comme il est déjà arrivé exagérer. Jésus ne pouvait pas manger la nourriture, car il y avait seulement une essence spirituelle. L’ange de l’Éternel répondit à Manoach: Quand tu me retiendrais, je ne mangerais pas de ton mets; mais si tu veux faire un holocauste, tu l’offriras à l’Éternel. Manoach ne savait point que ce fût un ange de l’Éternel (Juges 13:16). Pour reconnaître le Ressuscité, ne sont pas la raison et l’expérience physique et sensuelle suffisante. La condition voir Jésus était la foi.

          Aucun des évangélistes joue plus la continuité des événements. Jésus, prises de l’espace et le temps, peut être présent partout: Encore un peu de temps, et vous ne me verrez plus; et puis encore un peu de temps, et vous me verrez, parce que je vais au Père (Jean 16:16). La confusion qui a surgi à partir du moment de la résurrection signifie que les messages évangélistes ne sont pas exactes. Tout le monde voulait autre chose pour passer, conformément à leurs intentions. Il convient également de tenir compte de la distance temporelle env. 30 ans entre la résurrection et rédacteur en chef du Nouveau Testament. La discussion d’aujourd’hui va pas assez loin. Christophanie (révélation, représentant le Christ) était un événement surnaturel, mais ne peut pas faire l’objet de la connaissance historique, mais l’objet de la foi. Certains chercheurs pensent que la résurrection ne peut pas être appelé un événement historique (Karl Barth 1886–1968 théologien calviniste Rudolf Bultmann luthérienne théologien 1884–1976) parce que le Seigneur ressuscité était pas visible pour tout le monde. Résurrection traiter plutôt comme un appel à la foi. Dans la théologie catholique par chrystofanię toujours nous avons compris le phénomène de la vraie nature sensuelle, et donc l’historique, toutefois, traités l’événement comme phénomène surnaturel. Je vois une contradiction ici, même si certains soutiennent qu’il est apparente. Ils disent que, de l’existence de Jésus, était phénomènes miraculeux; et traité avec des étudiants qui ont connu chrystofanie étaient des phénomènes réels. Il est intéressant que le Christ après sa résurrection n’a pas comparu toute païens, ainsi que l’un des membres du Sanhédrin, le grand prêtre Caïphe même (Pinchas Lapid, un érudit juif). Quelqu’un a écrit que si Pilate ou Caïphe étaient dans la chambre haute au moment où Jésus est apparu à ses disciples, et afin qu’ils ne voient pas : Et si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine (1 Corinthiens 15:14). Les chrétiens doivent croire. Christ est ressuscité d’entre les morts. Il est cependant tout à fait différente de l’ancienne Jésus. Il appartient déjà à une autre réalité. Il est apparu que quelques-uns et d’une manière étrange, insolite et ambiguë. Une fois il a été diagnostiqué, la deuxième fois que quelqu’un a pensé qu’il a vu le Seigneur. Il était pas visible, il a seulement donné de voir ceux qu’il choisit lui-même les témoins. Le Christ ressuscité est devenu le sujet de la foi, pas la connaissance (expérience sensorielle).

Tłumaczenie

          Perykopa  Uczniowie z Emaus (Łk 24, 13–35) znajduje się tylko w  Ewangelii Łukasza. Dwaj uczniowie (jeden z nich to Kleofas) idąc do Emaus, w drodze spotykają człowieka, którym okazał się sam Jezus Chrystus. Rozmawiają z Nim, nie wiedząc z Kim rozmawiają. Ewangeliści sugerują, że Jezus Zmartwychwstały spożywał z nimi chleb, jak zwykły człowiek: Rzekł do nich Jezus: «Chodźcie, posilcie się!» […]. A Jezus przyszedł, wziął chleb i podał im – podobnie i rybę (J 21,12–13);  Gdy zajął z nimi miejsce u stołu, wziął chleb, odmówił błogosławieństwo, połamał go i dawał im (Łk 24,30); rzekł do nich: «Macie tu coś do jedzenia?»  Oni podali Mu kawałek pieczonej ryby.  Wziął i jadł wobec nich (Łk 24,41–42). Łukasz oczywiście, jak mu się już zdarzało, przesadza. Jezus nie mógł spożywać pokarmu, bowiem był już tylko Istotą duchową. Nie wiedział bowiem Manoach, że to był Anioł Pana. Jednakże Anioł Pana rzekł do Manoacha: «Nawet gdybyś mnie zatrzymał, nie będę spożywał twojego chleba. Natomiast jeśli chcesz przygotować całopalenie, złóż je dla Pana». Manoach bowiem nie wiedział, że to był anioł Pana (Sdz 13,16). Aby rozpoznać Zmartwychwstałego, nie wystarczał rozum i doświadczenie fizyczne, zmysłowe. Warunkiem zobaczenia Jezusa była wiara.

          Żaden z ewangelistów nie odtwarza już ciągłości wydarzeń. Jezus, wyjęty z przestrzeni i czasu, może być obecny wszędzie. Jeszcze chwila, a nie będziecie Mnie widzieć, i znowu chwila, a ujrzycie Mnie (J 16,16). Zamieszanie, jakie powstało z chwilą zmartwychwstania spowodowało, że przekazy ewangelistów nie są precyzyjne. Każdy chciał co innego przekazać, zgodnie ze swoimi intencjami. Należy brać pod uwagę też odległość czasową ok. 30 lat między zmartwychwstaniem a redakcją Nowego Testamentu. Dzisiejsze rozważania idą dość daleko. Chrystofania (objawianie, pokazywanie się Chrystusa) była wydarzeniem nadprzyrodzonym, nie może być zatem przedmiotem poznania historycznego, lecz przedmiotem wiary. Niektórzy uczeni uważają, że zmartwychwstania nie można nazwać wydarzeniem historycznym (Karl Barth 1886–1968 teolog kalwiński, Rudolf Bultmann 1884–1976 teolog ewangelicki), ponieważ Zmartwychwstały nie był widoczny dla każdego. Zmartwychwstanie traktują raczej jako apel do wiary. W teologii katolickiej przez chrystofanię zawsze rozumiano zjawiska realne, o charakterze zmysłowym, a zatem historycznym, jakkolwiek traktowano to wydarzenie jako zjawisko nadprzyrodzone. Widzę tu pewną sprzeczność, choć niektórzy twierdzą, że jest ona pozorna. Jak twierdzą, od strony egzystencji Jezusa, były zjawiskami cudownymi; rozpatrywane zaś od strony uczniów, którzy doświadczyli chrystofanii, były zjawiskami realnymi. Ciekawe, że Chrystus po swym zmartwychwstaniu nie ukazał się żadnemu poganinowi, jak również żadnemu z członków Sanhedrynu,  nawet arcykapłanowi Kajfaszowi (Pinchas Lapid, uczony żydowski). Ktoś napisał, że gdyby Piłat lub Kajfasz znajdowali się w wieczerniku w chwili, kiedy Jezus objawił się uczniom, i tak by nic nie zobaczyli. A jeśli Chrystus nie zmartwychwstał, daremne jest nasze nauczanie, próżna jest także wasza wiara (1 Kor 15,14). Chrześcijanie muszą w to wierzyć. Chrystus powstał z martwych. Jest On jednak zupełnie inny, niż dawny Jezus. Należy On już do innej rzeczywistości. Ukazywał się  tylko nielicznym i to w sposób przedziwny, niezwykły i niejednoznaczny. Raz był rozpoznawany, drugim razem komuś się wydawało, że widzi Pana. On nie był widzialny, On tylko dawał się widzieć tym, których wybrał sam na świadków. Chrystus Zmartwychwstały stał się podmiotem wiary, a nie wiedzy (doświadczeń zmysłowych).