Evangile selon s. Luc 45 i tłumaczenie

          Qui tend une lecture littérale des textes bibliques peut avoir du mal à comprendre La parabole de l’intendant infidèle   u Agile intendant (Luc 16:1–8). L’homme riche a un gestionnaire qui dilapide sa fortune. Il veut libérer. Intendant desperate travaille vite. Afin d’obtenir de futures personnes favorables ils falsifient leurs obligations à leur Panaz leur épargnant certaines dettes. L’intendant est un escroc et un tricheur. Pourtant, comme l’écrit Luc: Le maître loua l’économe infidèle de ce qu’il avait agi prudemment (Luc 16,8). Son premier instinct est difficile de comprendre le Seigneur. Le texte fait mal. Comment avez-vous (Dieu) pouvait se vanter du mal évident?! Ce qui est différent du Seigneur. Bien sûr, ce dissemblables. L’auteur ne se concentre pas sur un acte répréhensible, mais la vitesse de la prise de décision. Eh bien, pas cette question d’honnêteté et d’ingéniosité pour trouver la sortie dans une position sérieuse. La lecture du texte échappe à la conscience que cela est une histoire inventée par Luc, qui avait un but réel dans l’enseignement. Il est donc nécessaire de calmer les émotions que le Seigneur fait l’éloge mal. Rien de tout cela est arrivé. L’exégèse théologique rester. Il faut concentrer sur l’idée de Luc, ce qu’il voulait dire par cette histoire à raconter. Surtout, il voulait se vanter de prudence. Il est quelque chose que vous pouvez éviter de nombreux problèmes. Il est un compromis entre impose une réalité, et sa mise en forme. De l’homme de décider si les événements de la vie seront exacerbées ou minimisés. Sage dit que pour gagner dans les petites choses est insensé. Un sort
imposent parfois des cas très difficile. Personne est à blâmer. Tornades, tempêtes sont bons et les mauvais. L’homme a besoin de se défendre. Par décisions de taux attrape parfois des actes indignes. Cela peut évidemment pas approuver, mais parfois le moment exige une décision rapide. Nous devons comprendre clairement que Dieu est bon et actifs facteurs personnes. Seulement, ils peuvent pousser le monde vers l’avant. Mangeurs de pain ordinaire, passifs dans la vie, même si elles peuvent être fidèles à Dieu, ne font pas partie de l’avant-garde des êtres humains. Sinner a été accueilli par Dieu à l’homme de se sentir libre, pour être en mesure de prendre des décisions. En liberté on peut tout faire. Dieu repose sur des actions positives, mais parfois de grandes choses nécessite des sacrifices. On ne peut pas se mouiller les pieds traversant une rivière. Dieu a laissé l’homme choix du moindre mal. Vous pourriez être choqué par cela, mais certaines personnes comprenez que. La vie est une lutte, parfois cruel. Les difficultés que Dieu a permis à un homme de lui durcir spirituellement. Dans les situations difficiles homme montre qui il était vraiment et ce qu’il peut faire. L’homme est en mesure d’exposer sa vie pour sauver son chien des profondeurs de la rivière. La mère est capable de sacrifier leur vie pour la vie à naître. Beaucoup consacré à diverses questions. Un homme peut être grand. Ceux qui pensent qu’il suffit de vivre pieusement, passivement, souvent eux-mêmes exposer à des péchés d’omission.

Tłumaczenie

  Kto ma skłonność odczytywania tekstów biblijnych literalnie może mieć kłopot ze zrozumieniem przypowieści Obrotny rządca (Łk 16,1–8). Bogaty człowiek ma rządcę, który trwoni jego majątek. Chce go zwolnić. Zrozpaczony rządca działa szybko. Chcąc pozyskać przyszłych przychylnych sobie ludzi, fałszuje ich zobowiązania względem swego pana darując im część długów. Rządca jest malwersantem i oszustem. Mimo to, jak pisze Łukasz: Pan pochwalił nieuczciwego rządcę, że roztropnie postąpił (Łk 16,8). W pierwszym odruchu trudno zrozumieć Pana. Tekst czyni zgorszenie. Jak Pan (Bóg) mógł pochwalić ewidentne zło?! To niepodobne do Pana. Oczywiście, że niepodobne. Autor nie koncentruje się na złym uczynku, ale na szybkości podejmowania decyzji. A więc, nie o uczciwość tu chodzi, a obrotność w znalezieniu wyjścia w ciężkim położeniu. Czytając tekst umyka świadomość, że jest to historyjka zmyślona przez Łukasza, który miał swój konkretny cel dydaktyczny. Trzeba więc uspokoić emocje, że Pan pochwalił zło. Nic takiego nie miało miejsca. Pozostała więc egzegeza teologiczna. Trzeba skupić się na zamyśle Łukasza, co on chciał przez tę historyjkę powiedzieć. Przede wszystkim chciał pochwalić roztropność. To coś, co pozwala unikać wiele kłopotów. To pewien kompromis między narzucającą się rzeczywistością, a jej kształtowaniem. Od człowieka zależy, czy zdarzenia życiowe będzie zaostrzał, czy minimalizował. Mądre jest powiedzenie, że wygrywać w małym rzeczach jest głupotą. Los narzuca czasem bardzo trudne zdarzenia. Nikt nie jest temu winien. Tornada, burze są dla dobrych i złych. Człowiek musi się bronić. Przez szybkość podejmowanych decyzji chwyta się czasem czynów niegodnych. Tego oczywiście nie można pochwalać, ale czasem chwila wymaga szybkiej decyzji. Trzeba jasno zdać sobie sprawę, że Bogu mili są ludzie czynni i aktywni. Tylko tacy mogą popychać świat do przodu. Zwykli zjadacze chleba, bierni w życiu, choć mogą być wierni Bogu, nie należą do czołówki istot ludzkich. Grzeszność została dopuszczona przez Boga, aby człowiek mógł czuć się wolnym, aby mógł podejmować decyzje. W wolności można czynić wszystko. Bogu zależy na czynach pozytywnych, ale czasami wielkie rzeczy wymagają ofiar. Nie można nie zamoczyć nóg przechodząc przez rzekę. Bóg pozostawił człowiekowi wybór mniejszego zła. Można się tym gorszyć, ale niektórzy to rozumieją. Życie jest walką, czasami okrutną. Trudności, jakie Bóg dopuścił  na człowieka, mają go hartować duchowo. W sytuacjach trudnych człowiek pokazuje kim jest naprawdę i na co go stać. Człowiek jest zdolny narazić życie, aby ratować swojego psa z odmętów rzecznych. Matka zdolna jest poświęcić życie dla nienarodzonego życia. Wielu poświęca się różnym sprawom. Człowiek potrafi być wielki.  Ci, którzy uważają, że wystarczy żyć bogobojnie, biernie,  narażają się często na grzechy zaniechania.

Evangile selon s. Luc 44 i tłumaczenie

          Luc avait un grand sens de la théologie. Dans son inspiration, il lit la vérité sur Dieu. Dans attributs divins perykopach suivantes, ils sont présentés. Dans la péricope La brebis perdue  et retrouvée (Luc 15:1–7) montre dans la parabole du berger (Dieu), qui trouve la brebis perdue, et elle aime énormément. Le berger, avec une autre centaine de moutons à la recherche de celui-ci – perdu. Dieu apporte à des milliards de vie des personnes. Comme vous pouvez le voir, nous réalisons un grand projet visant à mesurer tous les temps. Malgré le grand nombre d’êtres humains, se soucie de tout le monde. Cette préoccupation a une dimension d’engagement personnel. Pour la brebis perdue se concentre sur le grand amour de Dieu. Malgré avoir perdu est le centre de l’attention, il est le protagoniste de l’événement. Quand il est constaté, il devient un sujet d’une grande joie. Comme l’auteur écrit: De même, je vous le dis, il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentance (Luc 15:7). Pour accepter cette injustice apparente, vous devez penser à pas selon la justice humaine, mais selon la Divine Miséricorde. Saints du ciel déjà gagné le cœur de Dieu. Personne ne les a pas recevoir leur joie. Ils ont obtenu ce qu’ils avaient à réaliser. Comme vous pouvez le voir la joie de l’action est supérieure à la joie de la propriété. L’amour est la durée statique. L’amour crée dynamique, il génère (fonctionnelles bon) et est créatrice. Fonctionnelles de la nourriture spirituelle de l’amour sont le monde fonctionne. Sans amour, le monde ne peut pas exister.

             Dans la péricope La drachme perdu (Luc 15:8–10) montre de même la joie de retrouver la drachme perdue (sa valeur était la journée de travail égal ou un prix journalier de l’emploi d’un mouton). Il agit pas de dénomination, mais le fait de trouver.

             La péricope L’enfant prodigue (Luc 15:11–32) est l’apogée de la pensée de l’auteur quant à la miséricorde de Dieu. Dans la parabole, ils sont dépeints deux frères, un plus jeune, “le fils prodigue”, et l’autre plus âgé, obéissant à la volonté de son père. Généreux père leur partagea son bien et donne le plus jeune fils lui un dû. Il veut la liberté totale. Il veut vivre seulement pour eux-mêmes. Elle utilise de la vie et perd tout son argent : Ne renoncez pas une prostituée, vous ne perdez pas de son héritage (Sir 9,6). Il voulait serrer la vie tout son possible, il voulait en tirer des “poignées”. Entièrement gratuit, devient un esclave – un berger porcs, pour qui le bonheur était d’obtenir quelque chose hors de leur karma. Un homme qui comprend la liberté comme l’arbitraire totale de vivre un mensonge. Le fils prodigue comprendre ce qu’est la vraie liberté. Il était dans la maison de son père était vraiment lent. La conversion et la transformation se produisent à l’intérieur. Cela en soi trouve son chemin de retour à son père. Dans l’interprétation de l’événement biblique est un symbole de la repentance. Le père l’accueille avec joie. Il organise un grand, joyeuse fête. Nous devons célébrer et se réjouir que ton frère que voici était mort et il est revenu à la vie; il était perdu et il est retrouvé (Lc 15,32). Le fils prodigue est l’image d’un homme qui a commis une erreur, mais il est revenu. De même, Dieu réunit ceux qui ont péché et qui souhaitent convertir. Dans ce caractère parabole il est aussi un père aimant. Il est l’amour du père lui dit d’attendre avec l’espoir que son fils était rentré. Dans la parabole qui est ce qui est arrivé. Père, je l’ai péché contre le ciel et contre toi (Luc 15:18). Le fils prodigue est revenu là pour la richesse de son père, mais son amour. Après cette déclaration, tout est pardonné et oublié fils. Les deux tombent dans les bras les uns des autres et de revivre la joie de non-retour vers le passé. Le frère aîné est surpris par la générosité de son père. Il ne voit que l’injustice ici. Il ne voit pas son frère transformation intérieure. Le frère aîné me rappelle ceux qui vivent comme “Le Seigneur Dieu a ordonné,” mais dans son coeur l’envie de ceux qui vivent avec la fantaisie, pas toujours “divine”. Son attitude de la vie dans tous traités comme des esclaves. Ces personnes ont également besoin de se repentir. Ils doivent être convaincus qu’ils ne traversent pas les préceptes du Seigneur est agréable à Dieu. Alors seulement que les vrais fils du Seigneur. Voici, il y a tant d’années que je te sers, sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour que je me réjouisse avec mes amis (Luc 15:29). Dans mon premier livre[1] je l’ai écrit: L’homme «froid» d’un candidat est conscient de ses péchés graves. Il est plus facile, cependant, un homme mal à devenir un meilleur, que des années de passion se débarrasser de réflexion ambiguë. Homme «vieux» est quelqu’un malades mentaux, qui prétend être un homme sans plainte. Peut-être que l’été est d’aimer Dieu avec un amour qui est une abomination pour lui, l’amour vient tout, demi-teinte.


[1] Paweł Porębski, La réalité à la lumière de la science, de la philosophie et de la foi, Ed. Jedność, Kielce 2008.

Tłumaczenie

         Łukasz miał wielkie wyczucie teologiczne. W swoim natchnieniu odczytywał prawdy o Bogu. W kolejnych perykopach ukazane są boskie atrybuty. W perykopie Zaginiona owca (Łk 15,1–7) pokazuje w przypowieści Pasterza (Boga), który odnajduje zaginioną owcę i cieszy się tym ogromnie. Pasterz, mając sto innych owiec, szuka tej jednej – zaginionej. Bóg powołuje do życia miliardy ludzi. Jak widać realizuje jakiś wielki projekt, na miarę wszechczasów. Mimo wielkiej ilości istot ludzkich, troszczy się o każdego. Troska ta ma wymiar osobistego zaangażowania. Na zaginionej owcy skupia się wielka miłość Boga. Mimo zagubienia się jest w centrum uwagi, jest bohaterem zdarzenia. Kiedy zostaje odnaleziona, staje się podmiotem wielkiej radości. Jak pisze autor: większa będzie radość z jednego grzesznika, który się nawraca, niż z dziewięćdziesięciu dziewięciu sprawiedliwych, którzy nie potrzebują nawrócenia (Łk 15,7). Aby zaakceptować tę pozorną niesprawiedliwość, trzeba myśleć nie według sprawiedliwości ludzkiej, ale według Miłosierdzia Bożego. Święci w niebie zdobyli już serce Boga. Nikt im nie odbiera ich radości. Oni już osiągnęli to, co mieli do osiągnięcia. Jak widać radość z działania jest większa od radości posiadania. Miłość statyczna jest trwaniem. Miłość dynamiczna tworzy, generuje (funkcjonały dobra) i jest twórcza. Funkcjonały miłości są pokarmem duchowym funkcjonowania świata. Bez miłości świat nie może istnieć.

          W perykopie Zgubiona drachma (Łk 15,8–10) podobnie pokazana jest radość płynąca z odnalezienia zagubionej drachmy (jej wartość była równa dniówce pracy robotnika lub cenie jednej owcy). Nie chodzi tu o nominał, ale sam fakt odnalezienia.

          Perykopa Syn marnotrawny (Łk 15,11–32) stanowi apogeum myśli  autora o Miłosierdziu Boga.  W przypowieści ukazani są dwaj bracia: jeden młodszy, „syn marnotrawny”, i drugi starszy, posłuszny woli ojca. Wielkoduszny ojciec dzieli majątek i daje młodszemu synowi należną mu część. On pragnie całkowitej wolności.  Chce żyć wyłącznie dla siebie. Używa życia i traci cały swój majątek. Nie oddawaj się nierządnicom, abyś nie stracił swego dziedzictwa (Syr 9,6). Chciał on wycisnąć z życia wszystko, co możliwe, chciał czerpać z niego „pełnymi garściami”. Całkowicie wolny, staje się niewolnikiem – pastuchem świń, dla którego szczęściem było otrzymać coś z ich karmy. Człowiek, który rozumie wolność jako całkowitą samowolę, żyje w zakłamaniu. Syn marnotrawny zrozumiał na czym polega prawdziwa wolność. To w domu ojca był naprawdę wolny. Nawrócenie i przemiana zachodzą w jego wnętrzu. W sobie odnajduje drogę powrotu do ojca. W interpretacji biblijnej zdarzenie to jest symbolem nawrócenia. Ojciec wita go z radością. Urządza wielką, radosną ucztę. Trzeba się weselić i cieszyć z tego, że ten brat twój był umarły, a znów ożył, zaginął, a odnalazł się (Łk 15,32). Syn marnotrawny jest obrazem człowieka, który zbłądził, ale powrócił. Podobnie Bóg wychodzi naprzeciw tym, którzy zgrzeszyli i którzy pragną nawrócenia. W tej przypowieści bohaterem jest też kochający ojciec. To miłość ojcowska nakazuje mu oczekiwać z nadzieją, że syn kiedyś wróci do domu. W przypowieści tak właśnie się stało. Ojcze, zgrzeszyłem przeciw Bogu i względem ciebie (Łk 15,18). Syn marnotrawny wrócił nie dla bogactw ojca, lecz do jego miłości. Po tym wyznaniu wszystko zostaje synowi wybaczone i zapomniane. Obaj padają sobie w objęcia i przeżywając radość nie wracają już do przeszłości. Starszy brat jest zaskoczony hojnością ojca. Widzi tu tylko niesprawiedliwość. Nie dostrzega wewnętrznej przemiany brata. Starszy brat bardzo mi przypomina te osoby, które żyją jak „Pan Bóg przykazał”, ale w swoim sercu zazdroszczą tym, którzy żyją z fantazją, nie zawsze „po Bożemu”. Swoją postawę życiową w sumie traktują jak niewolę. Tacy ludzie też potrzebują nawrócenia. Muszą uwierzyć, że nie przekraczanie nakazów Pana jest Bogu miłe. Dopiero wtedy będą prawdziwymi synami Pana. Oto tyle lat ci służę i nigdy nie przekroczyłem twojego rozkazu (Łk 15,29). W pierwszej mojej książce[1] pisałem: Człowiek «zimny» to ktoś zdający sobie sprawę ze swych ciężkich grzechów. Łatwiej jednak człowiekowi złemu stać się lepszym, niż letniemu pozbyć się beznamiętnej dwuznacznej refleksji. Człowiek «letni» to ktoś ciężko chory duchowo, uważający się za człowieka bez zarzutu. Być letnim to kochać Boga miłością, która jest Mu wstrętna, miłością byle jaką, połowiczną.


[1]  Rzeczywistość w świetle nauki, filozofii i wiary, Wyd. Jedność, Kielce 2008.

Evangile selon s. Luc 43 i tłumaczenie

          Dans Obligation des disciples de Jésus (Luc 14:25–35) il y a une énorme maladresse littéraire. Publié mots durs “détestent”:  Si quelqu’un vient à moi, et s’il ne hait pas son père, sa mère, sa femme, ses enfants, ses frères, et ses soeurs, et même à sa propre vie, il ne peut être mon disciple (Luc 14:26). Ce mot ne reflète pas les véritables pensées de Jésus. Il est d’environ insistant sur les conditions à remplir pour être son disciple. Reflète mieux la signification du verset de la phrase de l’Evangile de Matthieu: Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi n’est pas digne de moi, et celui qui aime son fils ou sa fille plus que moi n’est pas digne de moi (Mathieu 10:37). Le mot «haine» a été utilisé de manière similaire dans le livre de la Genèse: L’Éternel vit que Léa n’était pas aimée; et il la rendit féconde, tandis que Rachel était stérile (Genèse 29.31). Traductions souvent ne reflètent pas les véritables pensées et les intentions de l’auteur. Il faut être constamment sur ses gardes pour ne pas tomber dans le piège de la traduction (traduction) langue. Suivant est écrit: Et quiconque ne porte pas sa croix, et qu’il me suive ne peux pas être mon disciple (Luc 14:27). S’il vous plaît noter que ceci est une croix, pas la croix de Jésus-Christ. Si quelqu’un ne peut pas faire face à leur propre croix, beaucoup moins de prendre sur les épaules de la souffrance de quelqu’un d’autre. Jésus nous dit que vous devez considérer et évaluer tout. Les procédures doivent être mesurés en fonction de leurs propres forces et capacités. Récemment, il a révélé que dans la loi de Cracovie a tenu une religieuse malade (plutôt que de le guérir) dans des conditions terribles. Sauter le manque de compagnons de coeur, mais le fait est qu’elle n’a pas donné la rigueur du conseil religieux. Elle a pris trop de poids. Probablement son corps “brûlé”, a demandé son. Les émotions accumulées ne sont pas estuaire. Son comportement est devenu de plus en plus de défi et conditions de la caricature monastique (par ex. Danser nu). Les conséquences ont été tragiques. De même, un certain nombre des prêtres est pas en mesure de maintenir le mariage de pureté. Il est hors de leur portée. En vue du mariage, il est répréhensible, humainement compréhensible. Peut-être l’église elle-même au départ d’un de ces sacrifices difficiles et d’abandonner le célibat[1]. Le célibat dans l’Église a été plus dicté par des questions de succession, de la finance, de la victime de la renonciation. Certains des apôtres (comme Peter) étaient mariés. Le célibat est une invention humaine, et, malheureusement, dirigé contre la nature humaine. Notez, cependant, que celui qui est capable de vivre dans la chasteté et que la volonté, de lui laisser prendre la peine. La décision sur ce qui devrait venir du coeur, pas des conditions imposées sacerdoce. Désactivation de la libido est très difficile. Vous avez beaucoup de travail à donner à l’organisme d’autres alternatives déchargent émotions excès (d’énergie). Pas tout le monde a le désir et la force de pratiquer des sports. Pas tout le monde est capable aussi de méditer.


[1] Théologien hollandais E. Schillebeeckx (1914-2009) a appelé à l’abolition de l’obligation du célibat (voir. L’Encyclopédie Catholique, Volume XVII, Ed. TN KUL, Lublin 2012, col. 1225).

Tłumaczenie

          W perykopie Obowiązki uczniów Jezusa (Łk 14,25–35) pojawia się ogromna niezręczność literacka. Użyto szorstkiego słowa „nienawiść”: Jeśli kto przychodzi do Mnie, a nie ma w nienawiści swego ojca i matki, żony i dzieci, braci i sióstr, nadto i siebie samego, nie może być moim uczniem (Łk 14,26). Słowo to nie odzwierciedla prawdziwych myśli Jezusa. Chodzi tu o zaakcentowanie wymogów, jakie należy spełnić, aby zostać Jego uczniem. Sens zdania lepiej oddaje werset z Ewangelii Mateusza: Kto kocha ojca lub matkę bardziej niż Mnie, nie jest Mnie godzien. I kto kocha syna lub córkę bardziej niż Mnie, nie jest Mnie godzien (Mt 10,37). Słowo „nienawiść” zostało użyte podobnie w Księdze Rodzaju: Gdy Pan widział, że Lea została znienawidzona (odsunięta), otworzył jej łono; Rachela zaś była niepłodna  (Rdz 29,31). Tłumaczenia tekstów często nie oddają prawdziwych myśli i intencji autora. Trzeba mieć się stale na baczności, aby nie wpaść w pułapkę translacji (tłumaczenia) językowej. Dalej napisano: Kto nie nosi swego krzyża, a idzie za Mną, ten nie może być moim uczniem (Łk 14,27). Proszę zauważyć, że chodzi tu o własny krzyż, a nie krzyż Jezusa Chrystusa. Jeżeli ktoś nie potrafi uporać się z własnym krzyżem, tym bardziej nie weźmie na barki cudzego cierpienia. Jezus podpowiada, że trzeba zastanowić się i wszystko oszacować. Postępowanie trzeba mierzyć według własnych sił i możliwości. Niedawno ujawniono, że w zakonie krakowskim przetrzymywano chorą zakonnicę (zamiast ją leczyć) w okropnych warunkach. Pomijam brak serca współtowarzyszek, ale chodzi o to, że ona nie dała rady rygorowi zakonnemu. Wzięła na siebie zbyt wielki ciężar. Prawdopodobnie jej ciało „płonęło”, domagało się swego. Nagromadzone emocje nie miały ujścia. Jej zachowanie stawało się coraz bardziej wyzywające i w warunkach klasztornych karykaturalne (np. tańczenie nago). Skutki były tragiczne. Podobnie wielu kapłanów nie  jest w stanie utrzymać ślubu czystości. To ponad ich siły. Wobec ślubu jest to naganne, po ludzku zrozumiałe. Być może sam Kościół odejdzie od tak trudnego wyrzeczenia i zrezygnuje z celibatu[1]. Celibat w Kościele bardziej był podyktowany sprawami spadkowymi, finansowymi, niż ofiarą wyrzeczenia. Niektórzy apostołowie (jak Piotr) byli żonaci. Celibat jest wymysłem ludzkim i niestety skierowanym przeciwko naturze człowieka.  Trzeba jednak zaznaczyć, że kto jest w stanie żyć w czystości i tego chce, niech podejmie ten trud. Decyzja o tym, powinna wypływać z serca, a nie z narzuconych warunków kapłaństwa. Wyciszanie popędu płciowego jest bardzo trudne. Trzeba ogromnej pracy, aby dać ciału inne alternatywy wyładowania nadmiaru emocji (energii). Nie każdy ma ochotę i siły na ćwiczenia sportowe. Nie wszyscy są zdolni też do medytacji. 


[1] Holenderski teolog E. Schillebeeckx (1914–2009) postulował zniesienie obowiązku celibatu (zob. Encyklopedia Katolicka, tom XVII, Wyd. TN KUL, Lublin 2012, kol. 1225).

 

Evangile selon s. Luc 42 i tłumaczenie

          La péricope Rusé d’Hérode (Luc 13:31–33) surpris plusieurs aspects. Etrange que ce sont les Pharisiens. Ils  viennent et essaient d’avertir Jésus devant Hérode Antipas a cette époque : quelques pharisiens vinrent lui dire: Va-t’en, pars d’ici, car Hérode veut te tuer (Luc 13,31). On voit, pas tous  pharisiens étaient hostiles à Jésus. Il est bon de profiter de cette occasion pour adoucir une opinion négative des pharisiens. Jésus a critiqué l’hypocrisie, pas pharisiens personnellement. Comme je l’ai mentionné, les pharisiens étaient des disciples pieux et zélés de Yahvé. Leur excès de zèle, mais métamorphosé en une caricature de la foi et il a fait l’objet de critiques de Jésus. Jésus n’avait pas peur d’Hérode Antipas. En revanche, il indique clairement qu’il est encore et le chemin à parcourir. Aujourd’hui, demain et le jour suivant sont des symboles de temps indéfini. Le troisième jour symbolise le jour de la mort de Jésus. Péricope de Luc End est probablement un post-scriptum: car il ne convient pas qu’un prophète périsse hors de Jérusalem (Luc 13:33). En ces jours, il a été considéré que Jérusalem est mort prophètes envoyés par Dieu: Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés (Mt 23:37; Luc 13:34); dans la ville sainte, encore rebelle et destinés à tomber (mais aussi avoir à regarder la venue glorieuse du Seigneur).

          Dans la péricope  Guérison d’un hydropique un jour de Sabbat (Luc 14:1-6) est répétée dans la position de Jésus guérissant un jour saint. Lorsque la situation l’exige, il faut agir et du sabbat.

          La pericope Le choix des places (Luc 14:7–11) est une instruction universel sur la façon de procéder judicieusement dans la vie, à la dignité et à présenter à l’expérience de la privilège à d’autres: Lorsque tu seras invité par quelqu’un à des noces, ne te mets pas à la première place, de peur qu’il n’y ait parmi les invités une personne plus considérable que toi,  et que celui qui vous a invités l’un et l’autre ne vienne te dire: Cède la place à cette personne-là. Tu aurais alors la honte d’aller occuper la dernière place.  Mais, lorsque tu seras invité, va te mettre à la dernière place, afin que, quand celui qui t’a invité viendra, il te dise: Mon ami, monte plus haut. Alors cela te fera honneur devant tous ceux qui seront à table avec toi.  Car quiconque s’élève sera abaissé, et quiconque s’abaisse sera élevé (Luc 14:8–11).

         Jésus encouragé à inviter à la table des pauvres, frêle et malade. Paiement ne sera pas pour la vie, mais l’action sera récompensée à la résurrection des justes (Luc 14:14).

          Dans la Parabole des invités discourtois (Luc 14,15-24) Jésus enseigne que le royaume de Dieu vous invite à festoyer. Ne pas s’y opposer, car il est une insulte à l’hôte. Personne d’autre sans y être invité jamais goûter la nourriture préparée par Dieu. Lors d’un banquet dans le ciel, Dieu invite tout par ses serviteurs (prêtres). Le royaume des cieux est ouvert à tout le monde.

Tłumaczenie

          Perykopa Chytry Herod (Łk 13,31–33) zaskakuje kilkoma aspektami. Dziwne, że to właśnie faryzeusze przychodzą i próbują ostrzec Jezusa przed Herodem Antypasem: W tym czasie przyszli niektórzy faryzeusze i rzekli Mu: «Wyjdź i uchodź stąd, bo Herod chce Cię zabić» (Łk 13,31). Widać, nie wszyscy faryzeusze byli wrogo nastawieni do Jezusa. Dobrze jest przy tej okazji trochę stonować negatywne mniemanie o faryzeuszach. Jezus krytykował faryzeizm, a nie personalnie faryzeuszy. Jak wspominałem, faryzeusze byli pobożnymi i gorliwymi wyznawcami Jahwe. Ich nadgorliwość przeradzała się jednak w karykaturę wiary i to było przedmiotem krytyki Jezusa. Jezus nie zląkł się Heroda Antypasa. Przeciwnie stawia sprawę jasno, że ma jeszcze to i to do zrobienia. Dziś, jutro i pojutrze to symbole czasu nieokreślonego. Trzeci dzień symbolizuje dzień śmierci Jezusa.  Koniec perykopy prawdopodobnie jest dopiskiem Łukasza: bo rzecz niemożliwa, żeby prorok zginął poza Jerozolimą (Łk 13,33). W owych czasach było przekonanie, że w Jerozolimie ginęli prorocy wysłani przez Boga: Jeruzalem, Jeruzalem! Ty zabijasz proroków i kamienujesz tych, którzy do ciebie są posłani! (Mt 23,37; Łk 13,34); w mieście świętym, a zarazem zbuntowanym i przeznaczonym na upadek (ale też mającym oglądać chwalebne przyjście Pana).

         W perykopie Nowe uzdrowienie w szabat (Łk 14,1–6) powtórzone jest stanowisko Jezusa w sprawie uzdrawiania w dzień święty. Kiedy wymaga tego sytuacja, trzeba działać i w szabat.

          Perykopa Skromność (Łk 14,7–11) jest uniwersalnym instruktażem, jak postępować rozsądnie w życiu, aby godnie się zaprezentować oraz  doznać zaszczytu wobec innych: Jeśli cię kto zaprosi na ucztę, nie zajmuj pierwszego miejsca, by czasem ktoś znakomitszy od ciebie nie był zaproszony przez niego. Wówczas przyjdzie ten, kto was obu zaprosił, i powie ci: „Ustąp temu miejsca!”; i musiałbyś ze wstydem zająć ostatnie miejsce. Lecz gdy będziesz zaproszony, idź i usiądź na ostatnim miejscu. Wtedy przyjdzie gospodarz i powie ci: „Przyjacielu, przesiądź się wyżej!”; i spotka cię zaszczyt wobec wszystkich współbiesiadników. Każdy bowiem, kto się wywyższa, będzie poniżony, a kto się poniża, będzie wywyższony (Łk 14,8–11).

          Jezus zachęca do zapraszania do stołu osoby biedne, ułomne i chore. Zapłaty nie będzie za życia, ale uczynek będzie wynagrodzony przy zmartwychwstaniu sprawiedliwych (Łk 14,14).

          W Przypowieści o uczcie (Łk 14,15–24) Jezus poucza, że królestwo Boże zaprasza do ucztowania. Nie należy się temu sprzeciwiać, bo jest to zniewaga dla gospodarza. Nikt inny niezaproszony nie skosztuje strawy przygotowanej przez Boga. Na ucztę w niebie Bóg zaprasza wszystkich przez swoje sługi (kapłanów). Królestwo niebieskie jest otwarte dla każdego.

Evangile selon s. Luc 41 i tłumaczenie

       La péricope Rejet des Juifs et appel des gentils (Luc 13:22–30) se déplace sur le salut de l’âme. Je me demande quel genre de connaissances possédait sur ce Jésus? La difficulté de la recherche de ses connaissances réside dans le fait que les évangiles sont déjà étudie les auteurs. A cité les paroles de Jésus peuvent être déformées et fausses. Du texte que on doit seulement apporter des connaissances et des réponses aux questions. L’évangéliste Luc écrit que quelqu’un a demandé à Jésus la question: Seigneur, n’y a-t-il que peu de gens qui soient sauvés? (Luc 13:23). Jésus répond diplomatiquement. Pourquoi? Si Dieu révèle le plan eschatologique du salut universel (apocatastase, la restauration de la perfection originelle), personne ne l’aurait essayé de résoudre sa vie. Voici conserve le poste d’enseignant. Correspond donc à: Efforcez-vous d’entrer par la porte étroite. Car, je vous le dis, beaucoup chercheront à entrer, et ne le pourront pas (Lc 13,24). Le reste du texte est susceptible de développer auteur (Luc), qui a tenté de le traduire étaient les paroles de Jésus.

              Ecriture révèle: Dieu, qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité (1 Timothée 2.4). Au fil des années (siècles), de nombreux théologiens, par exemple. Bibliander Theodor (1504-1564) dans ses œuvres apologétiques et historique prêché le salut des croyants[1]. St. Grégoire de Nysse IV., John Scot Erigène IX., Hans Urs von Balthasar XXe siècle. Fr .. prof. Waclaw Hryniewicz XX. Arrivés à la conclusion que l’esprit de Dieu est le salut universel (apocatastase). Pour cette thèse et je vais vous rejoindre. Il est impossible que Dieu a laissé ses enfants dans la solitude, même si broiły. Dieu n’a pas une condamnation de la moindre idée. Ce mot est d’origine humaine. Dieu est Amour lui-même, de sorte que même par définition ne peut pas agir contrairement à l’essence même de son existence.

          Pour comprendre le monde surnaturel peut profiter du modèle conceptuel, dans lequel Dieu est le soleil et ses rayons combiner les âmes des créatures qui ont la même nature. Placer l’âme dépend de sa température. Le plus loin de la Source, les âmes du refroidisseur. Loin sont ceux qui sont reconnus comme rejetée. Il a visité Jésus après sa mort abîme, qui est resté âmes des morts. Cela signifie que toutes les âmes peuvent savoir (cru) en Jésus-Dieu. Cette connaissance leur permet de devenir impliqué dans les rayons du Père. Ils seront tous sauvés. Dans le monde du surnaturel, mais il ya une hiérarchie de la dignité.

          Ils jugent la vie humaine de vivre selon la justice humaine. Devant Dieu tout le monde sait ce qui lui appartient une place au ciel. Homme après la mort ne peut pas seule pour élever son âme de température. Il n’y avait pas de temps. Il reste en place grâce à lui, à des distances différentes, qui est l’intimité avec Dieu. Dieu donne une chance à tout le monde, mais il est l’homme lui-même décide pour lui-même. Pour assurer une bonne place dans les rayons divins, assez pour la vie à utiliser le bon sens et le cœur. Juste la bonne volonté. En vue du reste des cas, la confiance en Dieu. Infraction humaine, en raison des imperfections de la création, a pris sur lui Jésus-Christ. L’homme qu’il était entouré depuis le début de l’amour de Dieu, alors l’amour de son Fils. Du côté humain est faible. Ailes directeurs sont les deux commandements de l’amour que Jésus a proclamé.

          Ne faites pas semblant d’être saint, parce qu’il engage de l’hypocrisie et de la fierté. Ne devrait pas être considérée comme bonne, parce que je ne sais pas vraiment comment être bon. Ne pas montrer trop de leur pieuse car il peut être sa caricature. Gardez à l’esprit les paroles de Jésus: Voici des derniers qui seront premiers, et certains des premiers qui seront derniers (Luc 13:30).


[1] L’Encyclopédie Catholique Volume II. Université catholique de Lublin en 1985, col. 455.

Tłumaczenie

          Perykopa Odrzucenie Żydów (Łk 13,22–30) porusza temat zbawienia duszy. Ciekawe, jaką wiedzę posiadał na ten temat Jezus? Trudność poszukiwań Jego wiedzy polega na tym, że w ewangeliach są już opracowania autorów. Cytowane słowa Jezusa mogą być zniekształcone i nieprawdziwe.  Z tekstu trzeba dopiero wydobyć wiedzę i odpowiedzi na postawione pytania. Ewangelista Łukasz pisze, że ktoś zadał Jezusowi pytanie: Panie, czy tylko nieliczni będą zbawieni? (Łk 13,23). Jezus odpowiada dyplomatycznie. Dlaczego? Gdyby ujawnił eschatologiczny zamysł Boga o powszechnym zbawieniu (apokatastaza, przywrócenie pierwotnej doskonałości), nikt nie starałby się naprawić swojego życia. Zachowuje tu stanowisko pedagoga. Odpowiada więc: Usiłujcie wejść przez ciasne drzwi, gdyż wielu, powiadam wam, będzie chciało wejść, a nie będą mogli (Łk 13,24). Reszta tekstu jest prawdopodobnie opracowaniem autora (Łukasza), który próbuje tłumaczyć niejako słowa Jezusa.

          Pismo święte  ujawnia: Boga, który pragnie, by wszyscy ludzie zostali zbawieni i doszli do poznania prawdy (1 Tym 2,4). Przez lata (wieki) wielu teologów, jak np. Theodor Bibliander (1504–1564) w swoich pracach apologetyczno-historycznych głosił zbawienie niewierzących[1]. Św. Grzegorz z Nyssy IV w., Jan Szkot Eriugena IX w., Hans Urs von Balthasar XX w., ks. prof. Wacław Hryniewicz XX w. doszli do przekonania, że w zamyśle Boga jest powszechne zbawienie (apokatastaza). Do tej tezy i ja się przyłączam. Niepodobna, aby Bóg pozostawił swoje dzieci w osamotnieniu, nawet gdyby broiły. U Boga nie ma pojęcia potępienie. To słowo jest pochodzenia ludzkiego. Bóg jest samą Miłością, a więc nawet z definicji nie może działać niezgodnie z istotą swego istnienia.

          Dla zrozumienia świata nadprzyrodzonego można skorzystać z modelu konceptualnego, w którym Bóg jest Słońcem, a w Jego promieniach łączą się dusze istot stworzonych, posiadających tę samą naturę. Miejsce duszy zależy od jej temperatury. Im dalej od Źródła, tym dusze chłodniejsze. Daleko są ci, którzy uznani zostali za odrzuconych. Jezus po śmierci odwiedził otchłań, w której przebywały dusze zmarłych. Tym samym wszystkie dusze poznały (uwierzyły) w  Jezusa–Boga. To poznanie pozwala im włączyć się w promienie Ojca. Zbawieni zostaną wszyscy. W świecie nadprzyrodzonym istnieje jednak hierarchia godności.

          Życie człowieka osądzają żyjący według sprawiedliwości ludzkiej. Wobec Boga każdy wie, jakie przynależy mu się miejsce w niebie. Człowiek po śmierci nie jest w stanie sam podwyższyć swojej temperatury duszy. Zabrakło czasu. Pozostaje w miejscu mu należnym, w różnej odległości, czyli zażyłości z Bogiem. Bóg daje szansę każdemu, ale to człowiek sam decyduje o sobie. Aby zapewnić sobie dobre miejsce w boskich promieniach, wystarczy za życia posługiwać się rozsądkiem i sercem. Wystarczy dobra wola. Wobec reszty spraw, zaufać Bogu. Ludzkie przewinienia, z racji niedoskonałości stworzenia, wziął na siebie Jezus Chrystus. Człowiek otaczany był od początku miłością Boga, a potem miłością Jego Syna. Ze strony ludzkiej pozostało niewiele. Skrzydłami przewodnimi są dwa przykazania miłości, które ogłosił Jezus.

         Nie należy udawać świętych, bo tym zahacza się o hipokryzję i pychę. Nie należy uważać się za dobrych, bo nie bardzo umie się być dobrym. Nie należy pokazywać zbytnio swojej pobożni, bo może być ona jej karykaturą. Należy pamiętać słowa Jezusa: Tak oto są ostatni, którzy będą pierwszymi, i są pierwsi, którzy będą ostatnimi (Łk 13,30).


[1] Encyklopedia Katolicka tom II. KUL Lublin 1985, kol. 455.

Expérience Michelson – Morley sans secrets i tłumaczenie

          En 1887, Albert Abraham Michelson (de 1852 à 1931) et Edward Morley (1838–1923) rendu célèbre expérience interféromètre (expérience appelé MM), afin de déterminer la vitesse absolue de la Terre par rapport à la “éther” hypothétique. L’expérience a été basée sur le fait que les rayons lumineux ont été effectués dans les deux sens – le long de la direction de déplacement du dispositif et perpendiculaire au déplacement. Selon la physique classique sorti deux modèles à temps pour renvoyer les rayons réfléchis. Ils étaient différents et ont donné des résultats différents. Il était prévu que durant le dispositif d’essai pour confirmer les différences de temps calculées, les deux rayons. Et voici une surprise. Les temps sont les mêmes. MM résultat de l’expérience était très curieux et très surprenant. Il a été discuté de la façon d’expliquer l’expérience négative. Il a fallu 18 ans pour trouver une proposition pour résoudre ce casse-tête. Hendrik Antoon Lorentz (1853–928) introduit dans la formule pour le mouvement en conformité avec le mouvement de l’élément manquant de l’instrument appelé Lorentz amendement.

          Notez que cette expression est toujours inférieure à 1. La longueur de la liaison de l’appareil incorporant l’amendement est lu comme un changement dans sa longueur pendant le fonctionnement (contraction de Lorentz Fitzgerald), la réduction est censé se produit uniquement dans la direction du mouvement. Maintenant, tout est convenu que la Vérité.

          Assomption de raccourcir l’instrument dans l’expérience M–M fait, expliquer l’absence de différence de fois rayons exécuter. Bien que l’hypothèse de raccourcir la longueur expliqué de façon satisfaisante l’expérience négative, il a suscité un certain nombre d’objections. On a cru qu’il a été introduit dans le seul but de se débarrasser des problèmes et qu’il est trop artificielle. En 1905, Albert Einstein (1879–1955) a examiné les conséquences de la transformation de Lorentz, estimant qu’il est plus une astuce mathématique, et une description des lois réelles de la physique. Fausses conclusions. Les monstres résultant sous la forme de concepts de contraction linéaire et la dilatation du temps.

          Pour comprendre l’expérience négative suffisante pour examiner deux photons de la lumière se référant simultanément. L’un de la ligne de déplacement de l’appareil et l’autre à un angle par rapport au mouvement. Tous deux ont besoin des moments différents pour l’mappé un itinéraire. Il en résulte que des photons observés sont différents (la lumière contigu). Il est ici l’illusion que les deux photons démarrage, dans le même temps, à atteindre l’objectif. Est pas aussi simple que cela?

 

 

 

 

Doświadczenie Michelsona – Morleya bez tajemnic

 

          W 1887 r. Albert Abraham Michelson (1852–1931) i Edward Morley (1838–1923) dokonali słynnego doświadczenia z interferometrem (doświadczenie nazwane M-M), chcąc wyznaczyć bezwzględną prędkość Ziemi względem hipotetycznego „eteru”. Doświadczenie polegało na tym, że puszczano promienie światła w dwóch kierunkach – wzdłuż kierunku ruchu przyrządu i prostopadle do ruchu. Według fizyki klasycznej wyprowadzono dwa wzory na czas powrotu promieni odbitych. Były one różne i dawały różne wyniki. Spodziewano się, że w czasie doświadczenia przyrząd potwierdzi wyliczone różnice czasowe tych dwóch promieni. A tu niespodzianka. Czasy były takie same. Wynik doświadczenia M-M był bardzo zagadkowy i w najwyższym stopniu zaskakujący. Zastanawiano się, jak wytłumaczyć negatywny wynik doświadczenia. Potrzeba było aż 18 lat, aby znaleźć propozycję rozwiązania tej zagadki. Hendrik Antoon Lorentz (1853–1928) wprowadził do wzoru dla ruchu zgodnego z ruchem przyrządu brakujący element zwany poprawką Lorentza.

          Warto zauważyć, że wyrażenie to jest zawsze mniejsze od 1. Powiązanie długości przyrządu z wprowadzoną poprawką odczytano jako zmianę jej długości w czasie ruchu (kontrakcja Lorentza  Fitzgeralda), przy czym skrócenie to zachodzi jakoby jedynie w kierunku ruchu. Teraz wszystko się zgodziło oprócz PRAWDY.

          Przyjęcie założenia, o skróceniu przyrządu w doświadczeniu M-M za fakt, tłumaczyło brak różnicy czasów przebiegu promieni. Mimo, że hipoteza skrócenia długości zadowalająco wyjaśniała negatywny wynik doświadczenia, wywołała ona szereg sprzeciwów. Uważano, że wprowadzono ją jedynie po to, aby pozbyć się trudności i że jest ona zbyt sztuczna. W 1905 Albert Einstein (1879–1955) zbadał konsekwencje transformacji Lorentza, uznając ją już nie za wybieg matematyczny, a za opis rzeczywistych praw fizyki. Wyciągnięto fałszywe wnioski. Powstały dziwolągi w postaci pojęć kontrakcji liniowej i dylatacji czasu.

          Aby zrozumieć negatywny wynik doświadczenia wystarczy przebadać dwa fotony światła startujące jednocześnie. Jeden po linii ruchu przyrządu, a drugi pod skosem do ruchu. Oba potrzebują różnych czasów na wyznaczoną drogę przebiegu. W wyniku obserwowane są inne fotony (przez ciągłość światła). Występuje tu złudzenie, że oba fotony startowe, w tym samym czasie, dotarły do celu. Czy to nie proste?

Le premier martyr de la chrétienté i tłumaczenie

         26 décembre deuxième jour de Noël est célébrée pour commémorer Saint-Stephen. Il était à la tête des hellénistes, une petite faction des Juifs de la diaspora, dans lequel la langue de tous les jours était le grec. Ce groupe a travaillé à Jérusalem. Ses activités informent les Actes des Apôtres (Actes 6:2–5 lois). Hellénistes condamné le Temple de Jérusalem, que l’on croyait être l’œuvre de l’idolâtrie, contraire à la volonté de Dieu et vrai loi de Moïse. Ce groupe, ainsi que Saint-Stephen, a reconnu que Jésus venait à nouveau condamner ce faux temple et renaître de cette manière le judaïsme dans sa pureté originelle. Hellénistes voulait l’autonomie du christianisme. Stephen origine, comme tous les premiers chrétiens, était un Juif. Il était à la tête d’un groupe appelé hellénistes. Stephen, coupant Jérusalem le culte du christianisme, a créé les conditions pour sa diffusion. Il voulait réformer le judaïsme en retournant à ses racines (à l’exception des commandements sur le temple et le culte sacrificiel). Il a été tué env. 36 ans lapidés par la communauté juive locale à Jérusalem.

          Stephen, plein de grâce et de puissance, faisait des prodiges et de grands miracles parmi le peuple (Actes 6 :8). Il a été jugé par le Sanhédrin et lapidée à mort. Stephen a confirmé l’origine de Jésus mourant, je vois les cieux ouverts, et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu (Actes 7,56). Stephen, dans un moment de l’agonie, invoqué comme Jésus, qui se tenait en face du Conseil suprême dit: Je suis. Vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite de la puissance, et venant sur les nuées du ciel. Détermination du Fils de l’homme est tiré du Livre de Daniel. La ST est simplement défini l’homme. Qu’est-ce que l’homme pour que tu penses de lui, et ce que – le fils de l’homme que vous vous souciez de lui? (Ps 8:5). En hébreu et l’araméen expression «fils de l’homme” signifie autant que le premier «homme». Mot commun dans le Nouveau Testament, il était une expression de la dignité singulière de Jésus. Cela devient évident dans le processus de Jésus devant le Sanhédrin: vous verrez le Fils de l’homme assis à la droite du Tout-Puissant et venant sur les nuées du ciel (14:62).

          St. Stephen fut le premier martyr. Env. 36 ans dans sa souffrance a été accompagnée Saül: Saül et accepté de lui (Actes 8.1) tuer; Et Saül ravagé l’église, entrant dans les maisons kidnappé hommes et les femmes, et se sont immiscés dans la prison (Actes 8.3). Son activité était due à tempérament, le courage et la conviction que cela doit être fait. A été le témoin officiel de la lapidation – était représenté par le Sanhédrin.

          Savants se demandent comment il était possible pour un lynchage secrète et assassiner, car chaque sentence de mort a été accro à la signature du gouverneur romain, comme on le voit à la mort de Jésus. Juste à ce moment, Pilate a été congédié de son poste, et le nouveau gouverneur n’a pas encore arrivé. Les Juifs ont utilisé ce moment pour faire lyncher sur Stephen, qui plus est, ils ont commencé une campagne à grande échelle pour détruire le christianisme, “la grande persécution a éclaté dans l’Eglise de Jérusalem» (Actes 8:1).

          Église sur le deuxième jour de l’octave de Noël mis la fête de saint Stephen. Peut-être était tellement tellement que nous en regardant la crèche Christ n’a pas oublié que le sacrifice de la part de Dieu à l’homme nécessite également offert par l’homme à Dieu, même si elle exigeait le sang du martyre.

 

 

Pierwszy męczennik chrześcijaństwa

          26 grudnia to drugi dzień świąt obchodzony na pamiątkę św. Szczepana. Był on zwierzchnikiem hellenistów, małego odłamu Żydów z diaspory, w którym językiem codziennym była greka. Grupa ta działała w Jerozolimie. O jej działalności informują Dzieje Apostolskie (Dz 6,2–5). Helleniści potępiali światynię jerozolimską, którą uważali za dzieło bałwochwalstwa, sprzeczne z wolą Boga i z prawdziwym Prawem Mojżeszowym. Grupa ta, wraz ze Św. Szczepanem, uznała, że powtórnie przychodzący Jezus potępi tę fałszywą świątynię i odrodzi w ten sposób judaizm w jego pierwotnej czystości. Helleniści pragnęli autonomii chrześcijaństwa. Szczepan z pochodzenia, jak wszyscy pierwsi chrześcijanie, był Żydem. Był zwierzchnikiem grupy nazywanej hellenistami. Szczepan, odcinając chrystianizm od kultu jerozolimskiego, stworzył warunki do jego rozpowszechnienia. Pragnął zreformować judaizm poprzez powrót do jego korzeni (z wyjątkiem przykazań dotyczących świątyni i kultu ofiarnego). Zginął ok. 36 roku ukamienowany przez miejscową społeczność żydowską w Jerozolimie.

         Szczepan pełen łaski i mocy działał cuda i znaki wielkie wśród ludu (Dz 6,8). Został osądzony przez Sanhedryn i ukamienowany. Szczepan umierając potwierdził pochodzenie Jezusa: Widzę niebo otwarte i Syna Człowieczego, stojącego po prawicy Boga (Dz 7,56). Szczepan, w chwili konania, powoływał się jakby na Jezusa, który stojąc przed najwyższą Radą mówił: Ja jestem. Ujrzycie Syna Człowieczego, siedzącego po prawicy Wszechmocnego i nadchodzącego z obłokami niebieskimi. Określenie Syna Człowieczego  pochodzi z Księgi Daniela. W ST określało to zwyczajnie człowiek. Czym jest człowiek, że o nim pamiętasz,  i czym – syn człowieczy, że się nim zajmujesz? (Ps 8,5).  W językach hebrajskim i aramejskim zwrot „syn człowieczy” znaczy najpierw tyle co „człowiek”. Pospolite słowo, w Nowym Testamencie, stało się wyrazem szczególnej godności Jezusa. Szczególnie wyraźnie widać to w procesie Jezusa przed Wysoką Radą: Ujrzycie Syna Człowieczego, siedzącego po prawicy Wszechmocnego i nadchodzącego z obłokami niebieskimi (14,62).

          Św. Szczepan był pierwszym męczennikiem. Ok. 36 roku w jego cierpieniu towarzyszył Szaweł: Szaweł zaś zgadzał się na zabicie go  (Dz 8,1); A Szaweł niszczył Kościół, wchodząc do domów porywał mężczyzn i kobiety, i wtrącał do więzienia  (Dz 8,3). Jego aktywność wynikała z temperamentu, odwagi oraz z przeświadczenia, że tak należy czynić. Był oficjalnym świadkiem kamienowania – reprezentował Sanhedryn.

          Bibliści zastanawiają się, jak mogło dojść do jawnego samosądu oraz morderstwa, skoro każdy wyrok śmierci był uzależniony od podpisu rzymskiego namiestnika, jak to widzimy przy śmierci Pana Jezusa. Właśnie wtedy, Piłat został odwołany ze swojego stanowiska, a nowy namiestnik jeszcze nie przybył. Żydzi wykorzystali ten moment, by dokonać samosądu na Szczepanie, co więcej, rozpoczęli na szeroką skalę akcję niszczenia chrześcijaństwa: “Wybuchło wówczas wielkie prześladowanie w Kościele jerozolimskim” (Dz 8, 1).

          Kościół w drugim dniu oktawy Świąt Bożego Narodzenia umieścił święto św. Szczepana. Być może stało się tak po to, byśmy zapatrzeni w żłóbek Chrystusa nie zapomnieli, że ofiara ze strony Boga dla człowieka pociąga konieczność także ofiary ze strony człowieka dla Boga, chociażby ona wymagała nawet krwi męczeństwa.

Naissance du Roi i tłumaczenie

          Aujourd’hui, nous célébrons la naissance de Jésus-Christ. Qui Il était, en fait? Tout d’abord, l’Homme, messager de Dieu, qui a été donné à révéler ses attributs et de montrer qui est l’homme dans le Créateur.

          Grâce à l’amour, la prière fervente, la concentration, la méditation et la mystique de Jésus parfaitement lire les intentions du Père, puis l’a remis à son enseignement. En eux et leur attitude, Il a montré ce que Dieu est l’homme. Sa mort, totalement inutile dans un sens humain, fournies par la grande compensation divine sous la forme rédemptrice cadeau à l’humanité. Il a été exalté par les étudiants au rang de Dieu (Loi intérim), et Dieu le Père, ce que nous croyons, ce fait accepté et béni. Est-ce que les élèves ne sont pas allés trop loin? Jésus-Christ, les paroles du père est décédé. Donc des fidèles ont des raisons de croire que Jésus-Christ est le Roi, le Fils de Dieu,  l’Acte agissant a été nommé agissant avec le plan de Dieu.

          Il n’est pas surprenant que les fidèles traitent le nouveau-né Jésus déjà comme Roi. Ses légendes naissance est montrée comme les mythes. Les peintures de mots et de l’encre, montrent avant tout la joie de la naissance de créatures extraordinaires. Son enseignement vient de Dieu. Vous devez plonger dans son enseignement, car il porte une grande valeur. Hagiographie et histographie Jésus est nécessaire curieux. Pour les fidèles en général, il y a besoin d’une installation principalement pour l’amour, avec qui parler, d’attendre un soutien. Jésus-Christ dans la forme du Saint-Esprit est tout-présent. Il est parmi nous.

           Il se plonger dans les enseignements de Jésus, qui vient de Dieu lui-même. Il est parfait en lui-même, vivant, donner de l’espoir.
           Invitant voyage plus loin théologique je tiens à exprimer à vous, chers lecteurs, mon immense respect pour vous. Que les paroles de Dieu et l’espoir de les couler en permanence à vous camarades.

 

Tłumaczenie

          Dzisiaj święto narodzin Jezusa Chrystusa. Kim On był w rzeczywistości? Przede wszystkim Człowiekiem, posłańcem Boga, któremu było dane ujawnić Jego przymioty oraz pokazać kim jest człowiek w zamyśle Stwórcy.

          Przez miłość, żarliwą modlitwę, skupienie, medytację i mistykę Jezus doskonale odczytał intencje Ojca, a następnie przekazał je w swoim nauczaniu. W nich oraz własną postawą pokazał kim dla Boga jest człowiek. Jego śmierć, zupełnie niepotrzebna w sensie ludzkim, dostarczyła wielkiej Boskiej rekompensaty w postaci daru odkupieńczego dla ludzkości. On sam został przez uczniów wywyższony do rangi Boga (Aktu działającego), a Bóg Ojciec, w co wierzymy, ten fakt przyjął i pobłogosławił. Czy uczniowie nie poszli za daleko? Sam Jezus Chrystus słowami przekazywał wolę Ojca. Tak więc wierni mają podstawę wierzyć, że Jezus Chrystus Król, Syn Boga, Akt działający został powołany z zamysłu Bożego.

          Trudno dziwić się, że wierni traktują narodzonego małego Jezusa już jako Króla. Jego narodzenie obrosło legendami i mitami. Obrazy namalowane słowami i farbą pokazują przede wszystkim radość z przyjścia na świat istoty nieprzeciętnej.  Jego nauka pochodziła od samego Boga. Trzeba zagłębić się w Jego naukę, bo niesie ona wartości doskonałe. Hagiografia i histografia Jezusa jest potrzebna dociekliwym. Dla ogółu wiernych potrzebny jest obiekt przede wszystkim do miłowania, z którym można by porozmawiać, pożalić się, oczekiwać wsparcia. Jezus Chrystus w postaci Ducha Świętego jest wszech obecny. Jest wśród nas.

          Warto zagłębiać się w naukę Jezusa, która od samego Boga pochodzi. Jest ona sama w sobie doskonała, żywa, dająca nadzieję.

          Zapraszając do dalszej wędrówki teologicznej pragnę przekazać Wam, drodzy czytelnicy, mój ogromny dla Was szacunek. Niech słowa Boże i nadzieja z nich płynąca stale Wam  towarzyszy.

Evangile selon s. Luc 40 i tłumaczenie

          La péricope Stérile figuier (Luc 13,6–9) est un synoptique. Chaque auteur a présenté son propre climat cette parabole. Matthieu davantage l’accent arbres merveilleux pour se fanent et la croyance que l’homme ne peut rien. Marc tente de faire ressortir le sens théologique. Un arbre couvert de belles feuilles ne sont pas tout. Si vous ne portez pas de fruit, ne remplissent pas leurs obligations. Luc alors qu’il était à l’image de Dieu le miséricordieux et patient. Dieu vous donne un pécheur de la chance (d’arbre stérile). Si cela ne pas exercer le droit de conversion, puis est le jugement de Dieu.

         Malgré les nombreux commentaires sur le texte, Luc sur meilleur que nous sympathisons avec le même Dieu et lire ses pensées. Ses paroles sont pleines de chaleur et d’amour de Dieu. Ils sont la prière.

          Dans la prochaine guérison péricope Guérison un jour de sabbat d’une femme curbée (Luc 13:11–17) revient sur le problème de la guérison de la saison de vacances. Jésus prouve encore une fois que le sabbat est pour l’homme et non l’inverse. Luc utilise ici la comparaison d’un esprit d’infirmité (femme avait une colonne vertébrale tordue) à satan. S’il vous plaît noter que Luc était convaincu de l’existence de satan et que chaque maladie était son travail.

          Luc rappelle La parabole du grain de sénevé (Luc 13:18–21). La graine de moutarde est disproportionnellement faible[1] par rapport à l’arbre plus tard. Luc compare au royaume de Dieu. Ne pas développer ce thème en tant que telle. Matthieu. Il est difficile de donner un sens au texte de la parabole. Matthieu a fait mieux: si vous aviez de la foi comme un grain de sénevé, vous diriez à cette montagne: Transporte-toi d’ici là, et elle se transporterait; rien ne vous serait impossible (Mt 17,20). Avec même un peu de foi peut conduire à de grands résultats – comme une grande plante qui pousse sur un petit grain de moutarde. Foi, même aussi petit qu’une graine de moutarde peut changer la vie d’une personne. Sa vie est ce que ses pensées font d’elle. La foi est non seulement Dieu. Dans la pensée positive, la foi fait ressortir les forces humaines et les forces qui se trouvent en elle. Supprime également les peurs et les douleurs accumulées (Dr Joseph Murphy, dans sa prière de thérapie de livre). Comment pensez-vous que ce sera (William James – philosophe et psychologue américain); La vie d’un homme est ce que ses pensées font de lui un (Marc Aurèle).

          La foi, dans un large aspect est le moteur et les moyens à une fin. Fournit ce que l’homme est profondément caché en soi. Il ouvre une autoroute, après quoi couler les grâces et les dons de Dieu. Par la foi, il se permet de Dieu à travers sa permission. L’homme la confiance en Dieu soumis à sa direction. Couplé sa volonté à la volonté du Père. Rien ne pourrait être plus efficace.


[1] Une fois utilisé comme un médicament qui améliore la circulation sanguine et soulage la douleur. Les femmes de ménage savent que pour se débarrasser du sang de l’odeur fétide, a mis les quelques graines de moutarde et couvrir d’eau.

Tłumaczenie

          Perykopa Nieurodzajne drzewo figowe (Łk 13,6–9) ma charakter synoptyczny. Każdy autor wprowadził własny klimat tej przypowieści. Mateusz bardziej akcentuje cudowne uschnięcie drzewa oraz wiarę, że człowiek wszystko może. Marek próbuje wydobyć sens teologiczny. Drzewo pokryte pięknymi liśćmi to nie wszystko. Gdy nie rodzi owoców, nie spełnia swoich powinności. Łukasz natomiast ukazał to w obrazie miłosiernego i cierpliwego Boga. Bóg daje szansę grzesznikowi (nieurodzajne drzewo). Dopiero gdy nie skorzysta z możliwości nawrócenia, wtedy pozostaje sąd Boży.            

          Pomimo wielu uwag do tekstów Łukasza on najlepiej wczuwa się w samego Boga i odczytuje Jego zamysły. Jego teksty są pełne żaru i miłości Boga. Mają charakter modlitewny. 

          W następnej perykopie Uzdrowienie kobiety w szabat (Łk 13,11–17) powrócił problem uzdrawiania w dniu świątecznym. Jezus ponownie udowadnia, że szabat jest dla człowieka, a nie odwrotnie. Łukasz używa tu porównania ducha niemocy (kobieta miała skrzywiony kręgosłup) do szatana. Proszą zauważyć, że Łukasz był przekonany o istnieniu szatana i że każda choroba była jego dziełem.

          Łukasz przywołuje Przypowieść o ziarnku gorczycy i o zaczynie (Łk 13,18–21).  Ziarnko gorczycy jest niewspół-miernie małe[1] w stosunku do późniejszego drzewa. Łukasz porównuje go do królestwa Bożego. Nie rozwija tego tematu jak np. Mateusz. Trudno z tekstu wydobyć sens tej przypowieści. Lepiej uczynił to Mateusz: Jeśli będziecie mieć wiarę jak ziarnko gorczycy, powiecie tej górze: «Przesuń się stąd tam!», a przesunie się. I nic niemożliwego nie będzie dla was (Mt 17,20). Mając choćby odrobinę wiary, można dojść do wielkich rezultatów – podobnie jak duża roślina, wyrastająca z małych ziaren gorczycy. Wiara, nawet tak mała jak ziarnko gorczycy, może zmienić życie człowieka. Życie jego jest tym, co zeń uczynią jego myśli. Wiara dotyczy nie tylko Boga. W pozytywnym myśleniu wiara wydobywa z człowieka moce i siły, które w nim tkwią. Usuwa  też nagromadzone lęki i bóle (dr Joseph Murphy, w książce Terapia modlitwą). Jak myślisz, taki będziesz (William James – Amerykański filozof i psycholog); Życie człowieka jest tym, co zeń uczynią jego myśli (Marek Aureliusz).

          Wiara, w szerokim aspekcie jest motorem i środkiem do osiągnięcia celu. Udostępnia to, co człowiek ma głęboko ukryte w sobie. Otwiera też autostradę, po której spływają łaski i dary od Boga. Przez wiarę pomaga się Bogu przez swoje przyzwolenie. Człowiek ufny Bogu poddaje się Jego kierownictwu. Sprzęga swoją wolę z wolą Ojca. Nic bardziej skutecznego.

 


[1] Niegdyś stosowany jako lek, który poprawia krążenie i uśmierza ból. Gospodynie wiedzą, że aby pozbyć się z naczyń brzydkiego zapachu, należy włożyć do nich kilka nasion gorczycy i zalać wodą.

 

 

Evangile selon s. Luc 39 i tłumaczenie

          Mon impression est que l’enthousiasme de Jésus a été progressivement subverti par l’action humaine. L’église se renferma lentement dans ses exhortations. Oui surgi disputes théologiques, mais ils ont été insonorisation et réprimées. Il est resté tracer les enseignements de Jésus, de sorte que vous pouvez revenir et continuer à l’avenir à ses desseins. Jésus était un grand réformateur religieux. Grâce à une relation avec le Créateur, il est extrêmement précieux. Ses enseignements viennent de Dieu lui-même. Quelqu’un demande. Avez-vous quelque chose de mieux? Quelle est exactement la réforme de Jésus? Au-dessus de tout le reste représente Dieu le Père. Dieu est plein d’amour et de tout amour. Dieu ne punit pas que quiconque, parce qu’il est un juge au sens de l’humain. Dieu est la même opération (Loi d’exploitation). Il entoure les soins spirituels de l’homme, plutôt que physique (sauf cas particuliers). Dieu soutient physiquement toute existence, mais elle ne détermine pas. L’homme a été restauré à valoriser l’importance de Dieu héritier. Qui est l’homme vraiment montré que Jésus. En fait l’incarnation dit à l’homme qu’il pourrait être son frère. Jésus a révélé un partenariat entre Dieu et l’homme par un dialogue possible avec lui. Principes déclarés de coexistence fondées sur l’amour universel. Dieu a jeté le piédestal du roi et de magicien, et lui montra comme un père aimant. Il a enseigné comment vivre. Il a fait remarquer ce qui est important et ce qui est juste fond de la vie.

          Malheureusement, les enseignements de Jésus été que partiellement mises en œuvre. Apparemment, il n’était pas encore le bon moment. Je suis convaincu et je crois qu’un jour sera un grand retour aux racines des enseignements de Jésus. Le faites-vous de l’Église? Peut-être. La religion doit être réelle, dépourvue de légendes et de mythes. La vérité est la vérité et la plus importante chose que vous devez essayer. Les chrétiens devraient revenir à la foi en Jésus, pas à la religion (1822–1889 Albrecht Ritschl, un théologien protestant, le volume EK 17, col. 124). Cardinal Yves Congar (1904–1995) était un grand partisan de retour christianisme à ses racines. À son avis, l’église plongée dans le temps devrait changer.

          Quand il arrive dans le monde une tragédie, soulève immédiatement des questions (claims), telles que: Où était Dieu qui lui a permis? Dieu ne peut pas intervenir sans une pause dans la vie d’une personne, parce que la vie humaine serait déterminé. Il donne le sentiment de liberté et de pleine dimension. Dieu, voyant la souffrance du peuple “souffrent” avec le peuple. On doit comprendre que Dieu est l’auteur des désirs humains. Il est quelqu’un de plus grand. On ne peut pas prendre ombrage de lui, parce qu’il est ridicule, mais pour prier, pour donner de la force spirituelle pour surmonter les difficultés, les souffrances. Par Allah, on doit regarder à partir d’une perspective complètement différente. Et Dieu ne punit pas que quiconque, parce que la punition est une forme de représailles. En Dieu il n’y a pas une telle chose. L’homme se punit, parce que le mal (fonctionnelle) est aucune rétroaction d’action.

          La réalisation de la religion doit changer. Il faut éloigner de la piété baroque, pour les opérations actives agréable à Dieu. La religion ne peut limiter l’activité humaine, mais il devrait inspirer et dynamisme. On doit ouvrir votre âme et aller vers les gens, pour les faibles, les malades et les prisonniers, comme enseigné par Jésus-Christ.

Tłumaczenie

          Mam wrażenie, że entuzjazm Jezusa był powoli niweczony przez ludzkie działania. Kościół powoli zamykał się na Jego nawoływania. Owszem powstawały spory teologiczne, ale były one wygłuszane i tłamszone. Pozostał jednak ślad nauki Jezusa, aby można było powracać i kontynuować w przyszłości Jego zamysły. Jezus był wielkim reformatorem religijnym. Przez relację z samym Stwórcą jest ogromnie cenny. Jego nauki pochodzą od samego Boga. Ktoś zapyta. Czy trzeba coś lepszego? Na czym właściwie polega reforma Jezusa? Przede wszystkim inaczej przedstawia Boga-Ojca. Bóg jest pełen miłości i jest samą Miłością. Bóg nikogo nie karze, bo nie jest sędzią w rozumieniu ludzkim. Bóg jest samym działaniem (Akt działający). Bóg otacza człowieka opieką duchową, a nie fizyczną (poza przypadkami szczególnymi). Owszem podtrzymuje fizycznie każde istnienie, ale je nie determinuje. Człowiek został dowartościowany do rangi dziedzica Bożego. Kim jest człowiek  naprawdę, pokazał dopiero Jezus. W fakcie wcielenia oznajmił człowiekowi, że może być jego bratem. Jezus ujawnił partnerstwo Boga z człowiekiem przez możliwy z Nim dialog. Przekazał zasady współistnienia, oparte na powszechnej miłości. Zrzucił Boga z piedestału króla i magika, a pokazał Go jako Kochającego Ojca. Pouczał jak należy żyć. Wskazywał co jest ważne, a co jest tylko tłem życia.

          Niestety nauki Jezusa tylko częściowo zostały wprowadzone w życie. Widocznie nie był jeszcze na to właściwy czas. Jestem przekonany i wierzę, że kiedyś nastąpi wielki powrót do korzeni nauki Jezusa. Czy zrobi to Kościół? Być może. Religia musi zostać urealniona, pozbawiona legend i mitów. Prawda jest rzeczą najważniejszą i o Prawdę trzeba się postarać. Chrześcijanie powinni wrócić do wiary w Jezusa, a nie w religię (Ritschl Albrecht 1822–1889, protestancki teolog, EK tom 17, kol. 124). Kardynał Yves Congar (1904–1995) był wielkim zwolennikiem powrotu chrześcijaństwa do korzeni. Jego zdaniem Kościół zanurzony w czasie powinien się zmieniać.

          Gdy zdarzy się w świecie jakaś tragedia, zaraz pojawiają się pytania (pretensje), typu: A gdzie był Bóg, że na to pozwolił?  Bóg nie może ingerować bez przerwy w życie człowieka, bo życie ludzkie byłoby zdeterminowane. On nadaje wolności sens i pełny wymiar. Bóg, widząc cierpienia ludzi, „cierpi” razem z ludem. Należy zrozumieć, że Bóg nie jest wykonawcą ludzkich pragnień. On jest Kimś Większym. Nie można obrażać się na Niego, bo to niedorzeczne, lecz modlić, aby dał siłę duchową do pokonania trudności, cierpień. Na Boga trzeba spojrzeć zupełnie z innej perspektywy. Bóg też nikogo nie karze, bo kara jest rodzajem odwetu. U Boga nie ma czegoś takiego. Człowiek karze się sam, bo zło (funkcjonał) ma działania zwrotne.

          Świadomość religijna powinna ulec zmianie. Trzeba odejść od barokowej pobożności, na rzecz aktywnych działań miłych Bogu. Religia nie może krępować ludzkiej aktywności, lecz powinna ją inspirować i dynamizować. Trzeba otworzyć swoją duszę i wyjść do ludzi, do słabszych, chorych i więzionych, tak jak nauczał Jezus Chrystus.